“Femmes et numérique, une question historique”: a MAHEC workshop during the Rock de Rack festival (17 October 2019)

On 17 October 2019, the Ministry of Equality between Women and Men organised the “Rock de Rack” festival at the Rockhal to celebrate the centennial of women’s right to vote in Luxembourg (see programme). The event consisted of educational workshops centred around gender equality and aimed at high-school students.

This turned out to be the perfect opportunity for the second-year students of the masters in Contemporary European History (MAHEC) to share the work they had done in their ‘Women and ICTs: an historical analysis’ research seminar. Under the supervision of prof. Valérie Schafer and Sytze van Herck, we put together two 90-minute interactive sessions where we addressed the historical issues related to the current gender gap in ICT-related fields by contextualising within the wider history of computer technologies.

As such, in our introductory presentation we showed that this history was heavily marked by the presence of female pioneers such as the ENIAC Girls or the human computers of NASA – a presence which nevertheless started to decline in the 80s, with the advent of geek culture and the image of the male programmer. This presentation was followed by three ten-minute presentations on the ENIAC Girls, Katherine Johnson and Frances Allen, aimed to familiarise the students with some of the forgotten or hidden pioneers of computer science. To make things more interactive and test their knowledge, we then asked the students to do a short quiz on their mobile phone, followed by presentations on two historical sources in order to bring to their attention to the sexist clichés present in advertising.

Our goal was to encourage the students to reflect on the history of computer science by shedding a light on women’s contributions to the field, and to encourage them to think critically and deconstruct the gender stereotypes that are prevalent in the media. We believe we have achieved this goal, as we were lucky enough to have a lively, proactive audience: the students actively engaged in the debates and demonstrated an awareness of the issue of gender inequality and the impact it has on society. Perhaps more importantly, they genuinely seemed to enjoy our presentations.

Written by

Iona Turdean (MAHEC)

Interview sur « European History Primary Sources (EHPS)» (par Kelly Adao et Laura Hilbert)

Dans le cadre du cours “Narrating Europe Online” du “Master en histoire européenne contemporaine” de l’Université du Luxembourg, Serge Noiret qui est Library History Information Specialist à l’European University Institute à Florence et participe en tant que coordinateur et managing editor au portail EHPS présentait le 20 octobre 2014 ce projet en classe. Cette interview est faite d’une part avec M. Noiret et d’autre part avec Mme. Toffolo qui s’occupe en tant que project manager et contributor du portail EHPS.

– D’après quel critère avez-vous choisi les collections de ce site ?

Serge Noiret: Il faut que les sources primaires soient accessibles librement –open access-, qu’elles soient utiles à la recherche scientifique c’est-à-dire qu’elles fassent partie d’un corpus qui permette des découvertes scientifiques comme dans les archives analogiques, que les fonds en ligne soient cohérents, classifiés, décrits, contextualisés, bref que les archives en ligne répondent aux critères nécessaires pour une recherche à tous niveaux. Nous cherchons aussi de découvrir de petits patrimoines heuristiques qui ne sont pas connus, indexés ou répertoriés dans les grandes bibliothèques numériques existantes comme Europeana et qui peuvent signifier une découverte de la part des chercheurs ou éducateurs qui utilisent le portail. Enfin nous recherchons la diversité culturelle et linguistique et nous parcourons le temps long du moyen-âge à nos jours pour l’histoire de l’Europe et des pays qui la compose sans délaisser les sites qui, dans le monde, offrent des sources qui répondent aux critères précédents : histoire de l’Europe oui mais pas seulement à partir des pays européens.

Sandra Toffolo: The main criteria for the websites that are indexed on EHPS, is that they contain digital primary sources that are available in Open Access, and that deal with the history of Europe from the Middle Ages until the present day. The websites have to be made without commercial purposes, and are meant to support high-standard historical research.

– Selon votre opinion, à qui s’adresse le site ? Quels sont les buts de cette page ? Quels narratives voulez-vous raconter ?

Serge Noiret: EHPS s’adresse aussi bien aux enseignants d’histoire qui doivent sélectionner certaines sources pour leurs cours et trouvent dans EHPS un moyen centralisé pour les découvrir, aux curieux de l’histoire et du passé qui ensuite découvrent des sites ou s’intéressent de sources particulières et enfin aux chercheurs à tous les niveaux, doctorants et post-doctorants compris qui entendent accéder à des sources primaires et qui, souvent, ne savent pas ce qui est disponible et scientifique dans la toile. EHPS en soi n’offre pas une narration de l’histoire tout au plus un constat qui serait à analyser des tendances de la grande numérisation, de la présence de nouvelles sources visuelles et multi médiales. EHPS permet de construire des narrations dans un second temps, après avoir sélectionné ses sources.

Sandra Toffolo: EHPS was originally designed to serve the academic community of the European University Institute: PhD researchers, post-doctoral fellows, and professors. This also meant that to a certain degree it reflects interests of this community: history of Europe from the Late Middle Ages until today. However, EHPS is freely accessible online and can be used not only by academics, but by everyone who is interested in history and historical sources. In fact, since the source collections indexed are available in OA, users do not need to be affiliated to an academic institution in order to be able to access these sources. In certain ways, use of EHPS by non-academics is even stimulated by EHPS, for instance by encouraging debates about historical sources on Linkedin – which is by no means limited to academics. However, intended audience of a project, and actual audience of a project do not always coincide.  EHPS is open to all people who want to use it.

EHPS does not try to tell a narrative. Its aim is to inform users of the existence of repositories of digitized primary sources that might be useful for them. Once users have found these repositories, it is up to them to use the sources for their own purposes.

– Quels sont les avantages / désavantages de ce site ? Qu’est- ce que vous voulez améliorer sur le site ?

Serge Noiret: EHPS possède à présent un nombre considérable de projets recensés surtout pour l’Europe occidentale, méditerranéenne et balkanique, pas encore pour l’Europe centrale et de l’Est, des espaces géographiques pour lesquels de nouvelles connaissances linguistiques sont nécessaires, les sources étant disponibles en langue partout en Europe. Nous aimerions également pouvoir agir plus systématiquement en ajoutant plus des sites et développant la partie technique de la base de données Drupal mais le personnel et les finances manquent pour le faire aujourd’hui. Nous aimerions aussi développer de meilleures synergies avec d’autres projets européens, enrichir nos métadonnées et créer des permaliens pour chacune de nos fiches,

Sandra Toffolo: An advantage of EHPS is that it focuses on sources from many different countries and in many different languages. EHPS also provides access to repositories of sources, not to single items within these repositories. This is both an advantage and a disadvantage. In this way, users are pointed to entire collections that might interest them, rather than single items. It also promotes small-scale projects, since a project with millions of digitized items does not automatically have more possibility to be found by EHPS users than small-scale projects have. At the same time, if a user is looking for a specific source, he or she would first have to locate the relevant repository on EHPS, and only then find the specific source. In this case, this would not be the fastest way to go.

– Qu’entendez-vous sous la notion de « histoire publique » ? Est-ce que l’histoire publique est une histoire utile ?

Serge Noiret: Cette question demanderait une longue élaboration. L’histoire publique est avant tout le travail professionnel avec l’histoire, la mémoire et le passé en dehors des universités. Elle s’applique dans la sphère publique à des communautés différentes avec lesquelles les public historians travaillent et cotoient. Les pratiques sont institutionnalisées et les capacités professionnelles enseignées là où il existe des programmes de public et applied history, surtout dans les pays anglo-saxons. C’est aussi la présence des historiens dans les médias et la communication publique et cela touche la sphère de l’usage public de l’histoire même si de nombreux historiens académiques traditionnels participent de leur temps et s’engagent dans les médias et les débats publics autour du passé. L’histoire publique est fondamentalement histoire utile, utile à répondre aux besoins d’histoire et de connaissance du passé des publics les plus différents et des agents publics et privés qui cherchent le concours et la science des experts que sont les public historian pour mener à bien des entreprises culturelles dans les musées, expositions, commémorations, livres écrits sur commande, dans les Médias, pour les autorités nationales et européennes etc…

Sandra Toffolo: There are many ways to define public history. I would say that one way of putting it, is that public history is dealing with the past in an environment outside the academic world.

– Selon vous, l’histoire numérique devrait-elle constituer une discipline ou un champ en soi ou être plutôt une science auxiliaire au même titre que la paléographie par exemple ou la numismatique etc. ?

Serge Noiret: Histoire numérique ou histoire avec le numérique, les deux sont expressions vivantes de la révolution numérique et culturelle que nous vivons depuis vingt ans mais certainement pas science auxiliaire puisque le numérique touche tous les aspects de l’histoire de la recherche de source (EHPS) à la gestion des documents  et ensuite à l’écriture de l’histoire et à son enseignement. L’histoire digitale par contre fait partie des humanités digitales ou numériques comme on dit en France et cette discipline possède sa propre épistémologie, ses propres questions, ses propres outils et bien certainement se distingue des humanités traditionnelles aussi parce que son processus d’institutionnalisation construit des départements et centres différents des lieux traditionnels de la recherche humaniste et nécessite de laboratoires et d’outils spécifiques. C’est aussi une histoire « avec le numérique » quand les historiens traditionnels s’adaptent au monde du numérique et se serve des objets, programmes, formats et médias pour faciliter leurs activités traditionnelles. C’est d’ailleurs ce dernier aspect qui touche tout le monde des historiens que l’on apprécie ou non le passage au numérique : l’histoire avec le numérique c’est avant tout aujourd’hui l’histoire tout court dont les pratiques ont été renouvelées par la modernité.

Sandra Toffolo: Digital history is not just a new tool for traditional historiography, but also something that leads to new questions being asked about the past. At the moment, it is too often seen as something separate from more traditional historiography. I hope that in the future they become more integrated.

– Mis à part l’aspect méthodologique de l’histoire digitale, qu’est-ce que l’histoire numérique va révolutionner le plus ?

Serge Noiret: J’ai répondu à cela dans ma réponse précédente mais il est tout à fait évident que nous vivons en plein « digital turn » qui fournit à tous les aspects du monde et des activités historiennes de nouveaux moyens d’écriture et instruments de recherche.

Sandra Toffolo: The great increase in number of sources. People have to travel much less in order to consult certain sources, and can find relevant sources much faster, just sitting behind their computers. This brings with it also many new questions, for instance about reliability of online collections of sources. A second big change is the increase in the number of texts that are being written about history.

– Selon vous, quels sont les enjeux et les défis pour cette nouvelle génération ? Une nouvelle professionnalisation ? Des historiens-informaticiens ou alors des historiens devant s’adapter à de nouveaux outils tout simplement ?

Serge Noiret: Les enjeux me semblent clair : tous les historiens sont des historiens avec le numérique ou le seront d’ici peu et devront se servir du numérique parce que les sources seront numériques, l’historiographie elle aussi et les instruments de travail passent déjà tous par le computer. Par contre construire ses propres instruments, modifier et intégrer ceux des autres, chercher des réponses épistémologiques que seul ces instruments peuvent fournir, jouer avec les « big data » et la géolocalisation et le codage des textes, avec d’autres instruments fournis par les humanités numériques représentent les signes distinctifs de la discipline et les contenus des enseignements professionnels approfondis qui caractérisent déjà aujourd’hui ceux qui sont des digital historian par rapport à ceux qui se servent du numérique pour supporter leurs  recherches. J’ai écrit à ce sujet un court billet en italien dans mon blog qui sortira aussi sous peu dans la revue Histoire de l’Historiographie qui affronte cette délicate question sans prétendre, en aucun cas, répondre de manière manichéiste : la réponse possible se transforme sous nos yeux au fur et à mesure des transformations technologiques (http://dph.hypotheses.org/448)

Sandra Toffolo: There are many challenges; I would say that a big one is how to determine whether online available sources are reliable – who is responsible for making the collection online available, what aims do they have with this, etc.

– «Souvent une liste de titres dit fort peu, seul le bibliothécaire sachant, d’après l’emplacement du volume, d’après le degré de son inaccessibilité, quel type de secrets, de vérités ou de mensonges le volume recèle. Lui seul décide comment, quand, et de l’opportunité de pourvoir le moine qui en fait la demande, parfois après m’avoir consulté. Parce que toutes les vérités ne sont pas bonnes pour toutes les oreilles, tous les mensonges ne peuvent pas être reconnus comme tels par une âme pieuse. » Umberto Eco dans Le Nom de la rose.

S’il y a bien une chose que l’on loue dans l’histoire numérique, c’est bien la « démocratisation » des sources et de la connaissance globale du public ainsi que la capacité à accéder à toutes les informations. En tant que bibliothécaire et ayant créé une base de données numérique, comment interprétez-vous cette citation d’Umberto Eco ?

Serge Noiret: Moins de moines et bibliothécaires comme médiateurs de la connaissance dans notre monde numérique et plus d’acteurs et de collaborations dues aux nécessités de la transdisciplinarité, voilà une réponse à Umberto Eco et aussi à la démocratisation réelle que, au-delà des acteurs commerciaux qui dominent le monde du numérique, les communautés ont pu vérifier, s’emparant directement des moyens d’accès à la connaissance et à l’écriture dans la toile. Cependant, la multiplication des auteurs ne signifie pas la multiplication des intelligences ou de la connaissance. Comme par le passé d’ailleurs, le bibliothécaire est amené à dominer les instruments de la documentation et de l’accès à la documentation et à répondre aux nouveaux besoins de connaissance que le numérique a induits. Les bibliothèques offrent aujourd’hui les clés de l’accès aux contenus documentaires, à la fois parce que leur rôle est de disposer de ces instruments pour le public, parfois même de les créer et certainement celui de filtrer la documentation et de conseiller les stratégies de recherche documentaire avec le numérique.

– Si je dis que dans le futur chaque personne pourra être historienne grâce à la mise à disposition des sources, êtes-vous d’accord ou non ? Si non pourquoi ?

Serge Noiret: En partie oui, en partie non. Tour le monde pourra mettre en scène ses mémoires et sa propre perception territoriale du passé contigu et tenter aussi d’autres formes de narration mais seuls les historiens professionnels, ceux qui sont formés à la science du contexte et de la méthode critique resteront les accompagnateurs savants de l’histoire et les faiseurs de récits capables d’interpréter le passé dans sa complexité et sur un long terme qui dépasse la perception mémorielle dont l’historien reste, comme professionnel du passé, aussi l’interprète critique. L’historien analyse passé et présent à la lumière l’un de l’autre et construit aussi le futur qui, sans lui comme professionnel du contexte, reste indéchiffrable.

Sandra Toffolo: I would say that in the future everybody (with Internet access) can deal with historical sources. However, that is not the same as being historians – the historical context, methodologies, ways of critically analyzing sources, etc. that are taught during history degrees, will still be necessary to be called historians.

– Comment définissez-vous l’Europe ? Le lien entre Europe et ce site ?

Serge Noiret: L’Europe est personnellement ma patrie, mon identité générationnelle plus que ne l’est mon pays, ma ville ou ma région, mon Heimat dirait les germanophones. Je réfléchis aux autres européens en fonction de leurs différences linguistiques et culturelles avec curiosité et attention insatiable. L’Europe c’est reconnaitre l’autre dans ses différences, le respecter et choisir de construire le future ensemble, en regardant notre passé commun fait souvent de conflits et d’incompréhensions, parfois de haines et de barrières mais qui se définit sur le long terme comme parcours commun au-delà de nos différences. Etudier l’Europe c’est étudier ses peuples si riches et différents partant du principe que tous nous le sommes et nous contribuons à travers notre histoire au futur proche et lointain. Le portail EHPS en ce sens essaie de rendre compte de cette richesse et de ces différences répondant surtout à des métadonnées descriptives mais ne favorisant aucun discours identitaire spécifique ou forcé ou, mieux encore, partant de l’idée que tous les discours identitaires locaux, régionaux et nationaux sont des pièces du même puzzle que nous construisons ensemble et que nous devons découvrir: il y a l’Europe comme dimension supranationale et d’autres dimensions dans EHPS, toutes sur le même pieds et toutes décrites par rapport aux sources qu’elles offrent pour favoriser la compréhension du passé commun et qui est tellement riche, varié et intéressant qu’il vaut vraiment la peine d’être pensé, décrit et narré entre passé, présent et futur, le vôtre et le mien, le nôtre quoi !

Sandra Toffolo: EHPS focuses on sources about Europe (whether they come from Europe or from elsewhere), but this is meant as a geographical entity. For instance, it does not coincide with the European Union. There is no political message behind the way ‘Europe’ is defined in the project.

Note: M. Noiret a répondu le 19 décembre 2014 à ce questionnaire que nous l’avons envoyé par mail.

Review de EGO – European History Online

Ego (European History Online) présente et promeut ouvertement une narration de l’Europe qui ne se fige pas aux frontières nationales, mais qui exploite le caractère transnational des choses, événements, théories, etc.. Le regard transnational sur l’histoire européenne, qui débute, sur Ego, au 15ième siècle, permet à l’utilisateur, à travers d’articles et une interface très proche à celle de wikipedia, de visualiser les interconnexions, les relations, entre les différentes cultures du territoire européen. L’abscence d’une rubrique “nation(s)” exemplifie le désir charnel de quitter le cadre théorique et méthodologique du nation-building, particulièrement prominent depuis le 18ième siècle, pour rejoindre ce nouveau cadre du europe-building (particulièrement prominent depuis la fin de la 2ième Guerre Mondiale).

La structure du site internet est semblable à celle de wikipedia. La majeure différence envers ce dernier est que EGO publie des articles écris et revus par des professionnels. La majeure ressemblence par rapport au portail wikipedia réside dans la fonction de recherche et les hyperlinks vers des sujets connexes (qui reflètent notamment l’aspect de transnationalité du site EGO), bien que, contrairement à wikipedia, l’histoire racontée est figée à une espace défini, à savoir l’europe. Pas uniquement limité à des textes d’auteurs, Ego présente aussi d’autres sources digitalisées accessibles grâce à des collaborations avec des bibliothèques, musées, instituts culturels, autres projets semblables, et diverses universités. Malheureusement l’interface comprend que deux langues, l’anglais et l’allemand, bien que le nombre des langues proposées devrait être plus important afin que le site puisse gagner en popularité dans les différentsa pays européens.

Review of Europeana (14-18)

Cataloguing and crowd sourcing

 

The Europeana platform is a huge digital catalogue that aims at regrouping works in public domain of various European libraries, achieves, museums etc. The project is meant the render available to the public the heritage of European culture. The website actually does not host on its server the digitized documents but redirect the reader to other online archives.

Meant to be the European response to Google books the platform actually repeats the same mistakes and shortcomings: many scholars complained that in Google books the majority of documents are in English shaping for some the culture following an anglo-american view and Europeana just do the same but France leads the trend and furnishes most of the material of course written in French. Due to keyword search it is not always easy to find the targeted subject just as in Europeana.

The similar project Europeana 14-18 is also an online catalogue linking to other websites but this time focusing on World War I primary sources. The diversity lays in the gathering of the material: part of it is actually provided by national libraries and museums but part has been given by European citizens with an operation of crowd sourcing.

Since the website contains mostly primary sources and is mean to be a catalogue there should not be any narrative in it; however it suggests, in the graphic and in the way the search is organized, to the user that WWI was a European event rather than a global conflict. On the main page the user can chose between sources from Europe, America, Canada or New Zeeland attempting to relate to other continents but there is no sign of the colonies that were as well involved in the conflict; and why then there is no section about Turkish sources?

As a conclusion Europeana copied Google books and encountered the same difficulties. It wanted to demonstrate that a similar project could be achieved with public money rather than with private incomes. However if Google had not hurt French pride Europeana probably would not be born.

 

http://news.bbc.co.uk/2/hi/programmes/click_online/8357773.stm (accessed on 30/11/2014)

http://europa.eu/rapid/press-release_MEMO-08-724_en.htm (accessed on 30/11/2014)

http://newsbreaks.infotoday.com/NewsBreaks/Europeana-and-Digitization-The-Collaboration-Is-Only-Beginning-56079.asp (accessed on 30/11/2014)

http://newsbreaks.infotoday.com/NewsBreaks/NewsBreaks/New-European-Library-Portal-Launched-83477.asp (accessed on 30/11/2014)

Review of EGO – European History Online

Whereas a growing number of websites aims to present history to a large public, the EGO project (European History Online) addresses an “international audience with an academic education […].”[1] EGO defines itself as a “transcultural history of Europe on the Internet”[2] and wants to present “European history from a new perspective”.[3] The Center for Digital Humanities of the University of Trier and the Bayerische Staatsbibliothek are the two main institutions involved in the project. The publishers and editors come from various disciplines and European universities (mainly German).

Four categories

The site is structured in four different categories. Under “Time”, the periods are simply divided in centuries (from the 15th to the 21st century).

“Topic” is the second category; some of its subdivisions are more unusual, like “Economy, Technology”. Even though both cannot be completely separated, it might have been easier to link economy to society or technology to media. In some cases those divisions are not very consistent, as I stumbled for instance upon a text about Italian cuisine under the aforementioned subdivision.[4] The relation with economy or technology remains obscure.

“Area” suggests a division of Europe into different regions, like Eastern Europe, Western Europe or Central Europe. Not only does it reuse the Cold War division of East and West, but suggests also that the connections, networks and exchanges between the entities (villages, provinces, nations) in one of those regions are stronger than between entities of two different, neighboring regions: Western Europe, for instance, would be considered as a region for itself, more or less distinct to Southern Europe. Those divisions are therefore based on purely deliberate choices. Furthermore, under the aspect “Non-European world”, I found articles like “Orthodox Theology in Western Europe”[5]. Why this topic should be non-European remains questionable.

The last category, “Threads”, demonstrates the euro-centrism of EGO. This should not be considered as a reproach, as the site actually covers European history. Nevertheless, the introduction points to the fact that “Anyone trying to write (a) “European history” runs the danger of reinforcing the humanities’ Eurocentrism. “Europe” is without doubt a problematic category loaded with normative concepts.”[6] Bearing in mind the different subjects in “Threads”, one cannot ignore that they risk doing the same mistake. The topic “Europe and the world” rather creates a segregation (Europe vs. the world) than an inclusion (Europe in the world).

Suppose they talked about culture and nobody defined it

A major problem of EGO remains the definition of culture – a concept so complex, and yet so common that most people don’t really think about its definition. The authors describe why they use the term ‘transcultural’ instead of ‘transnational’ (which is completely understandable),[7] yet when it comes to the term ‘culture’, they only define it vaguely: ‘culture’ is not only understood as ‘high culture’, but “”culture” refers instead to the different frames of reference and interpretative systems, the boundaries of which are often, but not always, physical and geographical.”[8] Culture shouldn’t be separated from the other “realms” (politics, economy, society, etc.), which is true. But the authors put culture even above the other “realms”. Certainly, they do it on purpose, as the term ‘transcultural’ would then incorporate all the different “realms”. Yet, a critical reflection on culture is missing, and their definition is too vague to really serve as a guideline. Where are the limits of culture? When can we speak of a transcultural phenomenon? When can a culture be considered as such? The understanding of culture relies more on the intuition of the user, than on reflexive and critical considerations of the concept.

Oh transcultural approach, where art thou?

Finally, I would like to talk about the articles – the main aspect of EGO. First, some general considerations: the articles are divided in different chapters with a table of contents following a short summary in the beginning, reminding the structure used on Wikipedia. On the right side, a media bar contains various types of sources that are linked to some words, names or aspects in the text itself (and vice-versa). Every source is furnished with useful metadata (date, author, dimensions, original institution, etc.), allowing its contextualization. The articles respect academic standards and are referenced. Even a bibliography can be found under every text. The authors are known, albeit short biographical notes miss.

For the content, I choose as an illustration the text “Censorship and Freedom of the Press” by Jürgen Wilke.[9] Even though the form remains unobjectionable, the content is the downside to the article. It precisely misses what can be considered as the main aspect of the project: the transcultural approach. After a short overview of the history of censorship since the Antiquity, the article later on nearly exclusively gives examples and names personalities of the German-speaking world: Berthold von Henneberg, Emperor Maximilian I., Frankfurt Book Commission, Aulic Council, Imperial Diet of Augsburg, Joseph II. of Austria, etc. What is presented to the reader is a history of censorship through a German and Austrian lens.

The strong focus on Germany is underlined by the titles of the different chapters. Only one chapter (“Development in Other European Countries”) is explicitly dedicated to the rest of Europe, with barely two pages in the PDF-version (12 pages in total without the appendix). The transcultural aspect is missing and the bibliography contains mainly German literature. This might not be surprising, as the author is a German historian, and thus adopts a German view.

Conclusion

EGO excels at providing an academic platform, in a way that is rarely seen in the context of other projects. The footnotes, bibliographies, authors and metadata certainly are strong advantages. However, if the articles cannot even do justice to the main goal of the project, there is something really wrong. It is true that this critique is based on one article, but this also raises the question whether it would not have been better to promote a transnational collaboration of historians (on one article) to ensure a transcultural approach.

References

[1] http://ieg-ego.eu/en/ego [Last access: 12/12/2014].

[2] http://ieg-ego.eu/en/ego [Last access: 12/12/2014].

[3] Slogan on the main page [Last access : 12/12/2014].

[4] http://ieg-ego.eu/search?topic=10&sort_order=descending&b_start:int=5&Title=freigabe&portal_type=Document&sort_on=effective [Last access: 12/12/2014].

[5] http://ieg-ego.eu/en/threads/crossroads/religious-and-confessional-spaces/ivana-noble-tim-noble-orthodox-theology-in-western-europe-in-the-20th-century/?searchterm=None&set_language=en&set_language=en [Last access: 12/12/2014].

[6] http://ieg-ego.eu/en/ego/introduction#ATransculturalHistoryofEUROPEontheInternet [Last access: 12/12/2014].

[7] “”Transcultural” is in this sense a generic term for processes that are transnational, transregional, transconfessional, translinguistic, transethnic or which traverse legal systems.” (http://ieg-ego.eu/en/ego/introduction#ATRANSCULTURALHistoryofEuropeontheInternet [Last access: 12/12/2014]).

[8] http://ieg-ego.eu/en/ego/introduction#ATRANSCULTURALHistoryofEuropeontheInternet [Last access: 12/12/2014].

[9] http://ieg-ego.eu/en/threads/european-media/censorship-and-freedom-of-the-press/juergen-wilke-censorship-and-freedom-of-the-press/?searchterm=None&set_language=en [Last access: 14/12/2014].

Europeana and crowd-sourcing: a short reflexion

The ‘Europeana 1914-1918’ portal ((http://www.europeana1914-1918.eu/en )) is part of the larger Europeana project and aims to collect digitised source material on the First World War. In this reflection, I would like to give my personal opinion on what sets it apart from other digitisation projects, namely the bringing-together of ‘professional’ content from cultural heritage institutions and of private, ‘crowd-sourced’ content.

In this course, we have previously talked about the ‘European History Primary Sources’ project ((http://primary-sources.eui.eu/)). It was designed as an index of the growing number of repositories for digitised primary sources. The overwhelming majority of these were set up and filled with content by cultural heritage institutions (museums, libraries, etc.). This is why I would like to comment on the ‘professional’ side of the ‘Europeana 1914-1918 project’ only briefly here. When looking at the total number of items available in the search function, one can clearly see that most of the material available has been provided by contributing institutions. To be specific, the site currently offers 374544 items, of which 362481 have been provided by institutional partners ((The numbers can be viewed easily by choosing one of the three ‘source’-options on the right-hand side of the search interface; http://www.europeana1914-1918.eu/en/collection/search?q=&qf%5Bindex%5D%5B%5D=a&utf8=%E2%9C%93)). The sheer amount of material is certainly remarkable. Futhermore, these items are always linked directly to the proprietary website of the providing institution, meaning that one can usually find the available metadata quite easily. Instead of talking at length about the various types of sources and providers of this ‘professional’ side of the ‘Europeana 1914-1918’ project, I would now like to focus more on the crowd-sourced material.

As mentioned before, the website in question currently holds 374544 items. 12063 of these have been provided by the public, i.e. by private contributors ((see footnote 3)). Putting aside the enormous amount of items hosted by institutions for a second, the latter number is, at least in my opinion, quite impressive. For a private person to be able to upload anything online (this might be stating the obvious) he or she first of all has to know about the website. Then, one must create an account and go through the process of providing all the types of information required in order for the source material to be published. Considering the amount of work and time one has to put into it might be more helpful to put the number of private contributions in context than the comparison to the enormous amount of material provided by institutions. A noteworthy strategy employed by the makers of ‘Europeana’ in order to get access to private sources are their so-called ‘collection days’. These are held throughout Europe, allowing members of the public to bring their source material for it to be digitised ‘on-scene’.((http://www.europeana1914-1918.eu/en/about)) These events are one way of minimising the effort private contributors have to put into making their material available, all the while making the process of sharing much more personal and interactive than merely uploading data on a server themselves. As is evident from the ‘Collections’ tab in the search engine, 2517 items have been uploaded to the overall collection online, whereas the remaining roundabout 9500 have been collected in local events. Although they are certainly not cheap to organise and host (advertising them, having experts travel and invest what I would assume to be many man-hours into digitising material), they certainly seem to fulfil their goal of extending the overall collection.

Eventually, I would like to have a closer look at the crowd-sourced material available on the website. Using nothing but the search filters on the right-hand side of the screen, one can make a number of interesting discoveries. First of all, a look at the ‘Theatres’ parameter reveals that there is a clear predominance of items linked to the western front of the War (6453 as opposed to 1235 for the eastern front). Finding out the reasons behind this would certainly be an extensive research task, so I do not wish to go into speculation here. Instead, I would like to point out another imbalance of the total corpus of crowd-sourced material, namely the bias towards photographs and postcards. These two categories contain 468 and 461 items respectively. To put this into perspective, there are only 79 diaries, 23 drawings and 4 paintings. When searching within the collection of private sources as a historian, one has to keep this in mind in order to properly assess the results that are being generated by the search engine. As certain types of sources are over-represented, one risks to grant them more importance than they should be given ideally, that is to say if one wants to produce a ‘balanced’, academic historical narrative. This goes much further of course than just looking at the eclectic numbers that I put forward here. Critically assessing the available source corpora is a major task for any historian, whether his or her research be conducted on- or offline (or both). I would like to point out positively though how easy it is to generate statistics like the ones I have just mentioned in digital repositories in general and in ‘Europeana 1914-1918’ in particular. In combination with the overall variety of material (both ‘professional’ and private), the generally extensive metadata as well as the links to the original websites (in case of the ‘professional’ content), the excellent search function makes ‘Europeana 1914-1918’ a real asset for conducting research on the First World War. As any digital repository – and indeed any archive – it is of course not without its drawbacks, but at least in my personal research so far, it has been tremendously helpful.

Europeana: a critical analysis

Le site Europeana 1914-1918 est un site proposant une variété de sources digitalisées relatives à la première guerre mondiale. Ces sources sont accessibles au public et la recherche est facilitée par une barre de recherche et des subdivisions de ces sources en “collections” respectivement “thèmes”. Ce qui est intéressant est la variété de sources que le site propose: des photos, des posters, des cartes postales voir même des films de l’époque.

Un point qui est à souligner, surtout pour ceux qui utilisent ce site à des fins de recherche, est la métadonnées accompagnant les sources ce qui permet une périodisation exacte ainsi que de situer l’emplacement de la source. Aussi peut-on noter que le site s’adresse à un plus large public puisqu’il propose aussi des histoires qui accompagnent les sources.

Il apparaît dès lors clair, surtout en prenant en compte les institutions des pays divers participant au projet, que la narration adoptée est une double histoire. D’un côté, une histoire nationale, puisque les pays permettent l’accès à leur source pour montrer ce qu’eux ont comme éléments de cette période même si, à mon avis, c’est la mémoire collective qui domine la narration historique, comme étant un élément de l’héritage culturel de l’histoire européenne. En cela, le titre du site n’est pas anodin: Europeana1914-1918.  Les États-Unis faisant parti de la première guerre mondiale (le site propose “quelques sources”) ne jouent pas un rôle prédominant dans l'”histoire” que l’on cherche à transmettre, qui est une histoire centrée sur l’Europe.

Europeana: Une critique

Europeana est une base de donnée numérique qui a été établi par la Commission Européenne. La mission d’Europeana se veut de créer des nouveaux moyens, pour le public d’accéder à leur héritage culturel, que ce soit pour des fins personnelles, éducatives ou professionnelles. Pour réaliser cette mission, des libraires, des archivistes ainsi que des curateurs travaillent ensemble , pour offrir aux visiteurs, des œuvres numérisés sous forme de photographies, de textes de vidéos et de sons. Le nombre de contributeurs que se soient des libraires ou des centres de documentation est tout à fait remarquable, et peut donc fournir un aspect très varié sur un thème quelconque.

Alors que Europeana propose sur son site tout sorte expositions variés on y trouve une rubrique qui se consacre entièrement à la première guerre mondiale, thème d’actualité omniprésent de nos jours alors qu’on se trouve en pleine commémoration du centenaire de cette guerre. Sous cette rubrique, le visiteur peut exploiter différents types de sources comme des lettres, des journaux ou des documents officiels ainsi que des sujets variés qui lui permettront d’améliorer ses connaissances sur cette guerre. Les sources sont bien assorties de métadonnées menant bien précisément vers les liens, donc les institutions les ayant numérisés, ce qui permet un aspect plus approfondie sur un sujet.

En ce qui concerne le côté technique il faut accentuer le fait que l’utilisateur puisse choisir de naviguer entre différentes langues et puisse également utiliser un moteur de recherche. Ce qui facilite certainement toute recherche précise. Malheureusement les métadonnées restent en langue anglaise ce qui ne facilite pas l’usage d’un public plus larg. Un autre aspect négative ou plutôt un aspect de proposition futur serait de transcrire les sources primaires tels que les journaux intimes ainsi que les lettres par des calligraphes en les digitalisant. Cela ouvrerait l’accès certainement à un public encore plus large qui a des difficultés à décoder les écritures qui se trouvent sur ces documents. Mais comme Europeana est un site qui sert plutôt comme catalogue de recherche il faudrait plutôt faire cette proposition aux archivistes.

En ce qui concerne le contenu et la logique et l’organisation du site il faut valoriser le fait qu’il ne se contente pas de narrer qu’une simple histoire des batailles de la première guerre mondial mais qu’il fait l’effort de fournir aux utilisateurs des histoires personnelles à travers des lettres de la première guerre mondiale ou encore des thèmes peu traités comme les femmes de la première guerre mondiale. L’histoire de René Debailly démontre par exemple qu’il existait un besoin de s’exprimer encore artistiquement pendant cette guerre. Ses lettres témoignent d’une participation à une fanfare. Comme proposition futur on pourrait peut-être faire une collection qui se consacre aux artistes de la première guerre mondiale, en effet il existe une multitude de chansons de soldats qui sont nées pendant cette période. Chansons qui essaient d’anéantir la peur et le stress au front un tel sujet attirera certainement un grand public.
Ce qui m’a frappé est qu’il n’y existait aucun lien qui menait vers l’exhibition nommé Histoires inédites de la Première guerre mondiale. Sujet qui devrait cependant être integré vers Europeana 1914-1918.

Europeana est donc un site tout à fait intéressant qui donne une vue intéressante sur la première guerre mondiale elle n’offre pas seulement des sources utiles aux historiens mais aussi à un public plus large qui n’aura certainement pas de problème de naviguer sur site.

Rezension der Webseite “Europeana 1914 -1918”

Bei Europeana handelt es sich um ein Projekt, dass anstrebt Europas kulturelle und wissenschaftliche Quellen für jeden zugänglich zu machen. Eine virtuelle Bibliothek mit über 20 Millionen digitalen Objekten. Die Webseite stellt Millionen von digitalen Objekten kostenlos zur Verfügung, die in vier Gruppen gegliedert sind : Bilder (Gemälde, Zeichnungen, Karten, Fotos und Abbildungen von Museumsobjekten), Texte (Bücher, Zeitungen, Briefe, Tagebücher und Dokumente), Tonaufnahmen (Musik und aufgenommene Reden, Bänder, Platten und Radiosendungen), und Videos (Filme, Fernsehsendungen). Die Benutzer können kostenlos auf die Objekte sowie ihre Metadaten zugreifen, herunterladen ist aber nicht erlaubt. ((http://ipsaportal.unina.it/?p=309))

Das Projekt wird von mehreren europäischen Institutionen unterstützt sei es als Partner oder Mitwirkende, wie zum Beispiel das Reichsmuseum in Amsterdam, das Britische Museum aus London oder das Louvre in Paris. Das besondere an der Seite ist aber, dass jede private Person ihren Beitrag zur Kollektion leisten kann. Unter der Aufsicht von Experten können Objekte aus privatem Besitz in die Kollektion aufgenommen werden, durch diese Aktion können eine Vielzahl von versteckten Schätzen entdeckt werden, außerdem entsteht auf diese Weise eine persönliche Erzählperspektive der Europäischen Geschichte. Im Mittelpunkt der Webseite steht die individuelle Geschichte jedes einzelnen, die zusammen eine gemeinsame Geschichte ergibt. Das Projekt Europeana 1914 -1918 ruft die europäische Bevölkerung auf Geschichten, Filme und historische Dokumente sowie die persönliche Familiengeschichte über den ersten Weltkrieg beizutragen. Schaut man sich die Zahl der Einträge und den Erfolg der Seite an hat Europeana den Nerv der Zeit getroffen. Die Botschaft Europeana ist, dass Europa Stolz auf ihre Kultur sein sollte und sie dementsprechend zeigen sollte.

Die Seite ist in 25 EU Sprachen aufrufbar aber die meisten Informationen sind eher in Englisch. Neben einer Schlüsselwort Recherche kann der Benutzer ebenfalls eine erweiternde Suche nach Periode oder Ort machen. Registrierte Benutzer können die Inhalte speichern und teilen oder Objekte markieren, sodass sie ihre Rechercheergebnisse immer vor Auge haben.

Die Webseite ist empfehlenswert, besonders weil sie eine sehr große Anzahl an Quellen zu Verfügung hat die in Archiven nicht zu finden sind, da sie aus privaten Besitz kommen. Die Webseite kann für Recherchen benutzt werden, seien es Studenten, Lehrer oder normale Personen.