Centre de Documentation et de Recherche sur la Résistance et sur l‘Enrôlement forcé

Identification

Url-Uri du site http://www. secondeguerremondiale.public.lu/fr/index.html
 Titre  Seconde Guerre mondiale et le sous-titre est centre de Documentation et de Recherche sur la Résistance et sur l’Enrôlement forcé
Première actualisation du site 06.05.2010 (indiquée dans « A propos du site »)
Dernière actualisation du site 07.12.2012 (indiquée dans « Acteurs »)

Les auteurs sont deux centres de documentation et de recherche, deux comités directeurs du souvenir et deux fondations. Mais surtout le site est fait techniquement par « eluxembourg », qui est lancée par le gouvernement du Luxembourg. « Renow » est le référentiel officiel de normalisation pour ces types de sites web du gouvernement luxembourgeois. Ce site est donc réalisé dans ce cadre. De Plus ce site était surtout une idée du gouvernement (indiquée dans la rubrique « à propos du site »).

L’éditeur institutionnel est le centre de Documentation et de Recherche sur l’enrôlement forcé (CDREF) qui alimente le serveur, mais les informations diffusées n’engagent pas la responsabilité du CDREF, car cela est fait par la gouvernance électronique (a propos du site).

Le nombre de pages n’est pas indiqué exactement et pour cela on ne peut pas vérifier le nombre de pages.

L’accès est libre pour le site et si on a des questions on peut envoyer un mail.

Sur le site, il n’existe pas de compteur de visiteurs.

La date de fichage ou le site est analysé n’est pas indiqué sur les sites. On trouve seulement la date de la première actualisation.

Contenus

2.1 : Le sujet du site se base sur l’histoire de la seconde guerre mondiale. Surtout sur les deux libérations du Grand-duché de Luxembourg, la bataille des Ardennes, les luxembourgeois dans les camps de concentration, dans la déportation et aussi sur la fin de guerre janvier – mai 1945.

2.2 : Finalités : On peut faire une recherche en ligne sur un sujet, mais on peut aussi trouver une rubrique pour des différents musées au Luxembourg ou dans la Grande Région. Dans la rubrique « sentiers historiques » on trouve d’autres services pour s’informer sur la deuxième guerre mondiale.

2.3 : Les matériaux qu’on trouvent sur le site sont de différentes types par exemple des photos, des dossiers thématiques, des publications en livres, des lieux d’histoire etc. De plus on trouve dans la rubrique « Actualités » l’annonce de conférences, de vernissage ou même de voyages. En outre il existe un archive ou tous les documents sont énumérés.

Contexte des matériaux

2.4.1 : Tous ce qui existe sur le site sont publié par le centre lui-même. On ne sait pas exactement qui a écrit ses textes et ou les documents viennent.

2.4.2  et 2.4.3: Tous les textes et documents sont de manière chronologique, mais on n’indique pas qui a écrit ses textes. Les documents sont bien en rapport avec les historiques présentés et décrit sur le site. De plus le format textuel n’est pas si difficile car tout le monde peut lire les textes, car ils ne sont pas écrits de manière scientifique exagérée.

2.5 : Les thèses historiques sur ce site se basent surtout sur la deuxième guerre mondiale et ce centre de documentation organise des tables-rondes sur des sujets thématiques, des visites sur des lieus de mémoires et aussi des matinées pédagogiques pour les écoles et tout le monde. Dans la rubrique « Travail d’histoire et de mémoire » on reçoit tous les informations nécessaires.

2.6 : C’est pas une mise à jour récent, mais le site donne tous les informations nécessaires pour recevoir des informations sur la seconde guerre mondiale. La recherche historique est en relation avec les résultats et il n’est pas nécessaire de faire une nouvelle mise à jour.

Structure

3.1 : Le site s’inspire sur une « métaphore » de différentes types, par exemple le site présente des expositions de livres et aussi des expositions par rapport aux sujets élaborés. Une bibliothèque n’existe pas sur le site, mais une rubrique qui indique les publications autour de la seconde guerre mondiale. L’archive indique sur le site donne seulement l’information sur des expositions et des conférences qui sont organisés par le centre de documentation. De plus les places publiques se trouvent dans la rubrique « musée » ou les gens peuvent visités des lieux de mémoires et des monuments.

3.2 : Pour l’organisation de l’espace logique, je n’ai pas trouvé de réponses.

3.3 : Navigation : Sur le site il n’existe ni de cartes et ni d’index. Mais on a plusieurs barres de navigations. La barre de gauche indique tous les sujets et les informations nécessaires pour trouver des informations qu’on a besoin. On dessous du titre il existe une barre de navigation qui donne plus d’informations sur le site et les personnes qu’on peut contacter pour s’informer ou poser de questions. Dans la barre du « liens » on trouve des musées, des bibliothèques, des camps de concentration, etc. Tous ce qui est en rapport avec le sujet de la seconde guerre mondiale. Ces liens, sont des liens européens de France, d’Allemagne, de la Belgique et d’Autriche, mais aussi les liens nationaux situés au Grand-Duché de Luxembourg.

De plus on trouve une troisième barre de navigation au dessus de la photo de la Grande-duchesse Charlotte. La on peut avoir de l’aide pour des recherches simples et avancées. Ensuite on trouve des explications a propos du site et aussi comment l’aspect légal est organisé.

3.4 : La langue de communication n’est pas difficiles, car les hypertextes figurent bien dans le site et sont facile à lire. C’est pour cela que la navigation est facile à effectuer. De plus les images proposées sur le site, interprètent le message de seconde guerre mondiale car elles sont en rapport avec les sujets traités. Le style du site est pour que tous le monde peut comprendre les textes et peut s’aperçu des informations. Tous les textes et documents sont écrits en français.

3.5 : Connectivitéexterne : Sur le site on trouve dans la rubrique « Acteurs » tous les centres de documentation avec des références aux personnes qui sont responsables. De plus on trouve des adresses, des numéros de téléphone, etc. pour pouvait contacter les différentes associations. On peut aussi remplir un formulaire pour donner un feed-back sur le site. Mais si on a besoin d’aide ou avoir plus d’information on peut toujours écrit un mal pour avoir plus d’information.

3.5.1 : Le rôle de l’utilisateur est celui d’un spectateur et d’un lecteur. Car il observe tous les sujets et s’informe sur des sujets différents. De plus le spectateur regarde comment le site est fait et comment on peut l’utiliser. Le rôle du lecteur est que celui lire les textes et les analyse de manière critique. Entre outre il fait attention au style et au format des textes.

3.5.2 : Pour les instruments de navigations j’ai seulement trouvé un archive et des adresses email pour contacter des personnes responsables pour des sujets précis. Mais pour les autres point j’ai pus trouvé de réponse.

4.) Jugement critique

4.1 : Description du site

Le contenu du site est en relation avec la seconde guerre mondiale. Plus précis sur la résistance et sur l’enrôlement forcé. De plus ce site est aussi installé pour pouvoir travailler sur l’histoire et ma mémoire, pour que les jeunes et tous le monde n’oublient pas la souffrance et le mal que les luxembourgeois ont souffrent sous le régime nazis. Le centre de documentation est spécialisé de garder la mémoire et de donner aux gens la possibilité de faire des recherches à propos de la seconde guerre mondiale. En outre, le site est réalisé par le gouvernement pour donner l’occasion à la population de s’informer de plus sur l’occupation allemande et la souffrance du peuple luxembourgeois. Le contenue du site on peut aussi utilisé pour faire des recherches sur des sujets précis et contacté des personnes qui sont spécialiste dans des secteurs différents.

Pour décrire les divers chapitres, il s’agit des sous-chapitres pour mieux expliquer les différentes actions du centre de documentation. Mais aussi de donner l’occasion à l’utilisateur de s’informer de plus. Il existe onze chapitres différents. Dans le chapitre des «Acteurs » on trouve des centres de documentation, des comités et deux fondations qui travaillent sur l’histoire et la mémoire au Grand-duché du Luxembourg. Dans le chapitre « Commémoration » le site se concentre sur la chronologie, des cérémonies et les deux d’histoire de mémoire pour sauvegarder le devoir à l’histoire. Dans le troisième chapitre il s’agit du travail d’histoire et de mémoire qui est surtout adressé aux jeunes pour que ceux peuvent mieux comprendre les événements historiques. Dans le chapitre « Musées » on présente un certain nombre de musées qui veulent visualiser les thématiques en rapport avec les années 1940 – 1945.

Dans le chapitre « Sentiers historiques » il s’agit de différentes manières comment on peut garder la mémoire. Cela veut dire que les sentiers historiques permettent aux citoyens de saisir l’empreinte de la deuxième guerre mondiale qu’elle a laissé par exemple la promenade de souvenir à Reisdorf.

Dans les chapitres de « L’Actualité » et des « Publications » on présente des expositions, conférences, cérémonies, etc. tous en rapport avec le contenu du site. On trouve aussi un archive ou les utilisateurs peuvent regarder les différentes événements. Dans les « Publications » ont trouvent des livres sont apparus les dernières années. De plus on peut les consultés par PDF en langue français. Le « Dossier thématique » regroupe les cérémonies des dates pour le 60ieme anniversaires que le Conseil du gouvernement à retient. Le chapitre « Photos » visualise des différentes événements lors des années 2009 – 2010. Le chapitre « Législation » présente l’arrêt ministériel et aussi les règlements du mémorial au Luxembourg. Ce sont partiellement des dossiers parlementaires. Dans le dernier chapitre on trouve dans « L’annuaire » encore une fois la liste des centres, des comités et des fondations.

4.2 : Evaluation

Ce site du centre de documentation et la recherche sur la Résistance et sur l’enrôlement de force est utilisé d’une manière didactique. Car le site l’indique déjà sur son home page, qu’il est important que pour accéder au passé cela a pour but de répondre aux intérêts et aux aspirations de la jeunesse. A cause de ce choix les jeunes peuvent mieux comprendre les événements historiques et garder la mémoire.

Pour évaluer le site on peut constater qu’il est très visible et traite les sujets sensibles très bien. Si on regarde aussi les photos, elles redonnent l’atmosphère, de ne pas oublier les événements de la seconde guerre mondiale. De plus le concept du site est visé à toute sorte de public car tout le monde peut utiliser ce site pour avoir des informations. En outre les textes sont pas si difficiles à lire et donnent des réponses courtes et exactes. Les ressources présentées du site sont en relation avec les matériaux publics.

Je trouve aussi bien que le site donne des informations autour des sentiers historiques, pour que les gens puissent faire des promenades dans le passé et voir comment les gens ont risqué leur vie. Mais aussi de voir ou était et sont les bâtiments importants de cette période. De plus je constate, que le site est si bien organisé pour qu’il est accessible pour tous les âges, de jeunes jusqu’aux gens âgés.

Le contenu agit comme transporteur d’informations mais on peut critiquer que le site présente pas de texte de revue ou d’article publié en presse. Un autre point de critique est, que la bibliographie (publications) n’est pas si récente. Pour moi je voudrais plus de livres, articles, etc. qui sont en rapport avec la seconde guerre mondiale et ou on a la possibilité de les consulter. On peut aussi critiquer que l’archive présenter au site n’est pas si spectaculaire, car l’archive à seulement afficher de conférences, des expositions, etc.

Pour moi je souhaite un archive ou on trouve des anciens photos, des textes et mêmes des documents des personnes de ce temps. Cela peut reconfigurer le site encore plus intéressant, vivant et attractif. Une autre proposition qu’on peut créer et d’installer une base de données ou on peut rechercher des documents comme par exemple sur le site de l’archive nationale. (www.anlux.lu) Cela peut faciliter les recherches des personnes et comme ça on peut voir directement si les documents qu’on cherche sont présent. Et si non on n’a pas besoin d’y visiter le centre.

Mais on tout on peut consulter le site du centre de documentation pour avoir une vie historique sur la deuxième guerre mondiale et si on veut plus d’informations on peut contacter les différents personnes qui sont en charge des sujets précis.

Website review: Mediaevum.de

Le site Mediaevum.de (http://www.mediaevum.de/haupt2.htm recensé le 28 mai 2013) est parfois aussi appelé Mediävistik/Altgermanistik ou Mediävistik im Internet. Mediävum provient du mot latin medium aevum et signifie ère moyenne. Le terme Mediävistik signifie la science du Moyen âge européen.

Le portail Mediävum.de a été mis en ligne le 21 mars 1999. En cliquant la rubrique Impressum on retrouve cette information sous Besucherstatistik. L’url constitue http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#link. La dernière mise à jour du site a été effectuée le 26 mai 2013. Cette information se trouve au début de la home page.

Les réalisateurs et éditeurs du contenu, donc des documents et informations sont principalement des professeurs en philologie allemande et des professeurs en philosophie de divers Universités en Allemagne (voir : http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#link ). Sous Redaktion dans la rubrique Impressum on retrouve les noms et informations de chaque personne impliqué dans la réalisation et actualisation du portail. Sa réalisation technique est également effectuée par un professeur en philologie. En cliquant sur le nom des différents des auteurs on peut accéder leur page de l’université. Il existe également un lien pour accéder à la page  des éditeurs qu’on retrouve sous Herausgeber. Le portail se trouve sous Copyright. La paternité des contenus appartient à Glauch, Hamm & Rupp, Wissenschaftliche Internetdiesnstleistungen Mediävum.de GbR, qui sont les trois professeurs s’occupant de l’édition du site web. Les informations concernant ces droits se trouvent sous Haftungsauschluss/ Externe Links dans la rubrique Impressum.

L’éditeur institutionnel de Mediävum.de est Domainfactory. Cette information se situe dans la rubrique Impression sous Besucherstatistik. En cliquant sur ce lien externe on peut directement accéder à la page d’accueil http://www.df.eu  aussi connue sous Hosting, Server-Lösungen und Domains-Domain Factory.

Le nombre des pages composant ce site web est introuvable. Cependant il contient plus de 600 références web. (voir: http://www.mediaevum.de/haupt7.htm )

L’accès sur Mediävum.de est libre. On a tout de même la possibilité de s’inscrire gratuitement sur le Besucherforum, le forum de discussion Gästebuch (voir: http://www.mediaevum.de/cgi-bin/ikonboard/ikonboard.cgi ) afin de pouvoir discuter, poser des questions, donner des informations supplémentaires à certains sujets (ou concernant des séminaires) ou encore faire une critique sur les publications.

Le nombre de présences actuelles est mentionné en haut de la page d’accueil. En cliquant sur le lien interne Besucher on peut accéder à ces informations ainsi qu’aux statistiques d’usage du site web sous Besucherstatistik. On peut également passer par la rubrique Impressum (voir: http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#statistik ). Le portail est visité environ 3000 fois par jour. On y retrouve des informations sur le nombre de visite en 2009. Afin de pouvoir consulter les statistiques détaillées de 2009 il faut cliquer sur le lien hier qui ouvre le pdf (voir: http://www.mediaevum.de/hilfeseiten/statistik.pdf). Les statistiques sont exploitées par Domainfactory, l’éditeur institutionnel du site web. Cependant il faut remarquer qu’on retrouve que les statistiques de 2009 et les visites actuelles. Des statistiques plus récentes sont introuvables.

Contenus

Mediävum.de est un portail qui contient des liens et informations au sujet de la littérature allemande et latine au Moyen âge. A première vue il est destiné aux étudiants, professeurs ou chercheurs en philologie allemande et latine. A deuxième vue il est aussi utile pour les historiens ou des étudiants travaillant sur le Moyen âge. Comme son nom l’indique le site web contient des informations concernant les sciences de la philologie allemande et latine médiévales.

Le but de ce portail désigne de rassembler les sites web les plus utiles d’un point de vue scientifique et fiables sous forme de liens externes. On retrouve des catalogues regroupant des liens externes notamment pour des adresses et pour des sites web de différentes institutions germanophones telles qu’universités, centres de recherches non universitaires, des revues spécialisées et maisons d’édition, de musées, de châteaux forts ou de monastères, ou encore de bibliothèques. Ensuite on retrouve des bases de données et catalogues sur des recensions publiées sur internet, des publications médiévistes actuelles, la littérature et des écritures médiévales, des encyclopédies ou dictionnaires, etc… .

Structure et langages de la communication

Le portail s’inspire plutôt d’un site web d’une bibliothèque puisque c’est un en faite une sorte de catalogue. De plus sont associés à chaque rubrique une image, ce qui rend le site un peu plus vivant. L’espace du portail est organisé en blocs selon certains sujets tels que’ adresses utiles, bibliographies, sciences en philologie allemande, écritures ou encore outils d’aides (dictionnaires, encyclopédies). Chaque bloc/rubrique est divisée en sous-catégories. En cliquant sur les sous-catégories s’ouvre alors une base de données contenant les liens ou des informations sur certains sujets (projets, …). Les bases de données sont accompagnées d’évaluations, ce qui peut déjà donner une certaine impression au visiteur. On peut donc conclure qu’il s’agit plutôt d’une organisation de plusieurs blocs (sujets différents) et chaque bloc est organisé comme un arbre (sous-catégories).

On retrouve la barre d’outils ordinaire au début du site contenant 8 rubriques. Le texte de présentation du portail se situant contient plusieurs liens internes. Les informations les plus récentes se situent à droite ce qui évite de passer par les différentes rubriques. Ensuite on retrouve dix blocs/rubriques différentes, accompagnée chacune d’une image, regroupant différents sujets les quels on peut ouvrir immédiatement (liens internes). Si on ne sait pas précisément ce que l’on cherche on peut cliquer sur une rubrique et voir entre les sous- catégories. Sinon on peut utiliser l’outil de recherche dans la rubrique Suche (voir: http://www.mediaevum.de/suchen.htm ).  La recherche sur le portail est simple. Sinon on peut également utiliser le site map afin de voir toute les catégories sous forme d’un organigramme, ce qui peut faciliter la recherche.

Le portail est constitué de liens hyper textuels puisque qu’il contient des bases de données de liens.

L’utilisateur a le rôle du lecteur, du chercheur d’information mais aussi du communicateur lorsqu’il note un site dans le catalogue du portail ou lorsqu’il utilise le forum de discussion.

Le portail comprend un forum de discussion pour lequel on peut s’enregistrer gratuitement. Dans cette catégorie on retrouve une liste avec différents sujets regroupés par dates. Ces sujets contiennent chacun une liste de discussions.

Jugement critique

Le site est utile pour toute recherche d’informations au sujet d’analyse de documents médiévaux. Même si à première vue il est destiné au étudiants et professeurs de la philologie allemande, il faut noter que l’histoire est une matière regroupant plusieurs disciplines. Suivant le sujet qu’on traite, s’agit-il par exemple d’analyser des sources historiquement, on passe en premier lieu par la langue. En ce qui concerne la recherche pour l’analyse de sources et de documents médiévaux, Mediävum.de peut être recommandé. Le forum de discussion du portail est très pratique! La représentation du portail est nette et organisée. On s’y retrouve facilement.

Critique d’un site web: Centre de Documentation sur les Migrations Humaines

Le site du Centre de Documentation sur les Migrations Humaines est un site dédié à l’histoire des migrations au Luxembourg, mais aussi des régions voisines, du 19e au 20siècle. Ce site présente en gros les activités du centre situé à Dudelange. 

1. Identification

1.1 Url-Uri

http://www.cdmh.lu/

1.2. Titre

Le site porte le titre « Centre de Documentation sur les Migrations Humaines ».

1.3. Date de réalisation

Le site a été mis en ligne en 1998, mais il n’y a pas de précision plus exacte, concernant le jour et le mois de la création.

1.4. Date de dernière mise à jour

Ce site à été mis à jour le 07.03.13, donc il s’agit d’une mise à jour assez récente, prouvant qu’il y a un réel souci de maintenir le site actuel.

1.5. Auteur(s)

Le CMDH n’a pas un auteur ou plusieurs mentionnés concrètement comme tels, toutefois, il y est indiqué que le site est géré par l’ASBL Centre de Documentation sur les Migrations Humaines. Il y a toute une liste de membres qui participent activement dans l’association, toutefois, selon l’organigramme inclût dans la page de présentation du CMDH, il se peut que se soit un employé non nommé qui s’occupe du site, car celui-ci doit, selon l’organigramme, s’occuper des tâches quotidiennes.

1.6. Editeur institutionnel

L’éditeur institutionnel est mentionné en bas de page ; il s’agit d’OLEFA, le site de celui-ci est le suivant : http://www.olefa.com/

1.7. Dimension

Le nombre exact des pages n’est pas mentionné, il est tout de même possible de dire que le site est composé de neuf pages principales, qui elles contiennent encore d’autres sous-pages.

1.8. Modalités d’accès

L’accès au site n’est pas soumis à une inscription, il n’est pas nécessaire d’introduire un mot de passe pour visualiser le contenu.

1.9. Statistiques d’usage

Le site contient un compteur de visite, visible en bas de page. Celui-ci compte le 10.03.13 2476 visiteurs à 19h00.

1.10. Date de fichage du site

L’analyse du site n’est pas indiquée, il ne reste qu’à supposer que cela remonte à la dernière mise à jour, le 07.03.13.

1.11. Recenseur

Il n’y a également pas de données sur une personne qui aurait effectué une revue critique du site.

2. Contenus

2.1. Sujet

Le site du Centre de Documentation sur les Migrations Humaines se focalise, comme l’indique le titre, sur les migrations. Le sujet appartient à l’histoire sociale du Luxembourg, plus précisément du sud du pays. Le CDMH mise sur une étude de l’histoire des phénomènes de migration au Luxembourg mais aussi des régions voisines par une approche générale, nationale et régionale, comprenant la fin du 19e siècle ainsi que le début et milieu du 20e siècle.

La page explicative du CMDH indique que ce qui est important est la présentation du sujet dans le contexte d’un Museum without Walls, situé dans le quartier italien de Dudelange, le sujet de l’immigration et émigration étant aussi illustré partiellement par ce concept.

2.2. Finalités

En parcourant le site du CMDH, on peut constater qu’il s’agit d’un site de divulgation. Cette divulgation se concentre sur le concept évoqué au point précédent, le Museum without Walls.

2.3. Matériaux publiés

Le site présente pour le moment la possibilité d’accéder à une bibliothèque numérique, ainsi que d’une page dédié à des articles, dont des cours et conférences, qu’on peut consulter librement. Pour le reste, le site présente quelques photos qui servent de décor et illustration.

Le CMDH présente dans la partie dédiée aux ressources une possibilité d’accès à des archives, toutefois il faut attendre toute information supplémentaire car elle n’a pas encore été ajoutée au site. Il y a encore des matériaux datés d’avant 1910, mais ceux-ci ne peuvent pas être consultés en ligne et peuvent seulement être consultés après prise de rendez-vous.

Le CMDH annonce aussi la volonté d’introduire une bibliographie sélective, mais celle-ci à déjà été annoncée pour l’année 2010. Le visiteur du site peut constater qu’à ce jour cette bibliographie n’a pas encore été mise en ligne.

2.4. Contexte dans lequel les matériaux sont offerts

2.4.1. philologique:

Les documents de la bibliothèque numérique ainsi que la partie dédiée aux articles présentent donnent un aperçu de la thématique de ceux-ci, évoque le nom des auteurs.  La section des articles permet de recherche librement, tel que la page dédié à la publication, la bibliothèque et médiathèque, tout cela en un. Néanmoins, la section des articles peut être consulté en ligne, c’est-à-dire qu’on peut accéder directement aux articles et les lire immédiatement, alors que l’autre partie ne permet qu’une recherche de titres et auteurs, qui par la suite doivent être communiqués au bénévoles du CMDH à Dudelange, pour consultation.

2.4.2. temporel:

Les documents présentés sont presque tous dans une certaine période temporelle, c’est-à-dire la fin du 18e siècle jusqu’au 21e. Certains documents dépassent tout de même cette période ciblée et traitent de évènements plus anciens ou sont très récents.

2.4.3. textuel:

Il n’y a pas de présentation approfondie des textes qui ont été mis en ligne. En effet, le site se concentre sur la simple présentation des actions du CMDH.

2.5. Thèse historiographique

Une thèse historiographique n’est pas présente dans ce site.

2.6. Mise à jour

Une indication de la mise à jour au niveau de résultats récents en recherche historique ainsi qu’une indication de la fréquence de mise à jour des contenus n’est pas retrouvable.

3. Structure et langages de la communication

3.1. Métaphore

Le site ne se fixe pas à une seule métaphore, en effet, celui-ci pourrait s’inspirer à une revue, à une banque de données réduite, un archive et un lieu de mémoire.

3.2. Organisation de l’espace logique

D’une part on se retrouve face à une sorte de logique réticulaire, d’autre part, certaines parties du site ne semblent pas être liés les unes avec les autres. L’impression globale du site donne une image un peu désordonnée, cliquant sur un élément qui ouvre une autre page et ainsi de suite, puis se trouvant face à des pages qui mènent nulle part.

3.3. Navigation

La navigation sur le site ne s’avère pas très pratique. Un index complet et clair n’existe pas, il faut se contenter de la mise en exergue des parties principales du site et de cliquer sur un mot en vert pour pouvoir entrer dans une nouvelle partie du site. Le lecteur peut vite perdre quelques éléments de vue, même si le site n’est pas très vaste.

3.4. Langages de communication

Les liens hypertextes sont intégrés p.ex. dans un mot faisant partie d’un texte ou étant un titre, tel que la page des ressources qui, si on appuie sur le mot Bibliothèque, étant en effet une sorte de sous-titre d’un texte introductif, renvoyé à la page recherchée. Le logo du CMDH en haut à gauche permet, dès qu’on est sur une page précise, de retourner à la page d’accueil.

Pour le reste, il s’agit majoritairement de mots colorés en verts qui permettent de entrer dans s’autres niveaux du site, sinon, on se retrouve face à des titres en noir, qui ne permettent aucun renvoi.

3.5. Connectivité externe

Il y a la possibilité d’utiliser des liens hypertextuels pour entrer dans d’autres pages, qui ne sont pas partie intégrantes du site du CMDH mais en effet des sites différents. Le site présente à certains moments des limites d’accessibilité, soulignant par exemple des documents non-numérisés. C’est alors que le site donne la possibilité de remplir des formulaires assez courts, mais qui restent partie intégrante de la page web, les internautes ne sont pas renvoyés en dehors de la toile.

L’adresse postale du CMDH ainsi que le numéro de téléphone et fax renvoient naturellement à l’extérieur de la toile.

3.5.1. rôle de l’utilisateur :

L’utilisateur du site est plutôt considéré comme un lecteur, qui cherche en premier lieu à se faire une idée du CMDH.

3.5.2. instruments de navigation:

Le site contient quelques moteurs de recherche dans la partie consacrée aux articles ainsi que dans la partie consacrée aux ressources, plus exactement la sous-partie Bibliothèque. Ces moteurs de recherche sont assez simples, permettant de cibler sa recherche par un certain choix de thématiques ou époque.

4. Jugement critique

4.1. Description

Le site est partie du CMDH, une asbl qui à des membres du monde scientifique, lui permettant de présenter un thème assez important dans l’histoire sociale du Luxembourg.

Le site lui-même n’est qu’une présentation de ce centre, de ses activités au niveau de la recherche et d’expositions. Le contenu du site s’avère être assez réduit, se limitant au nécessaire pour informer les utilisateurs.

Il est, comme déjà mentionné auparavant, subdivisé en neuf pages principales, regroupés dans une liste à gauche. La première page accessible est celle des actualités, qui ne diffère que peu de la page d’accueil, c’est en effet la même page, sauf que celle de l’accueil contient une phrase explicative sur ce que est le CDMH.

La page suivante dans la liste à gauche est intitulé « CDMH », cette page présente le CDMH en général, mettant en avant le fonctionnement et les buts du site ou à bien dire de l’ASBL.

La partie suivante consultable « Histoire », se concentre sur la ville de Dudelange et son rôle en tant ville d’ouvriers immigrés, de plus, on retrouve la biographie de quelques personnalités luxembourgeoises importantes de la région à l’époque. Dans cette page si on peut cliquer sur des liens pour lire les différentes parties sur la ville de Dudelange ou les personnages, subdivisés en plusieurs textes. Les mots suivants sur la liste sont « Quartier italien », accompagné à droite de quelques images, ici on ne retrouve qu’un texte assez court sur ce fameux quartier ouvrier.

S’en suivent les parties « Publications », « Ressources » et « Itinéraires », la première et deuxième se dédient aux articles et à la bibliothèque, alors que la partie « Itinéraires » renvoyé, comme l’indique le titre complet, au « patrimoine des migrations ». Ici on présente des liens vers des forums, des projets et itinéraires liés au sujet.

Avant dernier élément sur la liste est la partie « Liens », renvoyant à plusieurs pages luxembourgeoises pour la majorité, s’agissant d’associations pour les immigrants au Luxembourg, ou alors sur les fonds de Belval ou site de l’histoire du patrimoine du Luxembourg par exemple.

Finalement, on peut cliquer sur « Contact », élément qui donne, évidemment, accès aux coordonnées de l’ASBL et numéros de téléphone, une carte extraite de Google Maps, etc.

Le site peut être consulté en version française, allemande et anglaise et contient, comme déjà évoqué plusieurs fois, des images d’ouvriers, du quartier italien et de Dudelange en général.

4.2. Evaluation

b

Critique d’un site web: le Cid-femmes

1. Identification
1.1. Url-Uri:
http://www.cid-femmes.lu/
1.2. Titre:
Cid-femmes; comprendre et agir, femmes et genre
1.3. Date de réalisation:
2005
1.4. Date de dernière mise à jour :
Mise à jour régulière, la date exacte de la dernière mise à jour est introuvable.
1.5. Auteur(s) :
Les auteurs exacts de chaque publication sur le site ne sont pas visibles. Cependant, l’équipe du Cid-femmes est présentée sur le site. Kathrin Eckhart est la bibliothécaire, Christa Brömmel est la chargée politique, Danielle Roster est la chargée culturelle et s’occupe du projet KeK et du forum femmes et musique Euterpe, Joëlle Schwinnen est responsable des relations publiques, Françoise Wagner s’occupe de l’administration, Tessy Schmitt est responsable pour la bibliothèque et les archives musicales, Jacqueline Kandel s’occupe du secrétariat et Danielle Duprez des archives de presse.
1.6. Modalités d’accès :
L’accès au site est libre.
1.7. Statistiques d’usage :
Il n’y a pas de compteur de visites et de statistiques sur l’utilisation du site.

2. Contenus
2.1. Sujet :
Le Cid-femmes est le Centre d’information et de documentation des femmes Thers Bodé asbl. Il a été créé le 8 mars 1992 lors de la journée mondiale des femmes. Il possède une bibliothèque avec des ouvrages essentiellement écrits par des femmes ou s’intéressant à leur histoire. Sa collection comporte environ 20 000 ouvrages, des CDs, magazines. Les thèmes abordés sont le mouvement féministe, gender history, histoire des femmes, l’art des femmes, des biographies de femmes et des romans écrits par des femmes. Le centre a également un rayon intitulé « mädchenstarke Kinder- und Jugendliteratur ». La bibliothèque a également une rubrique avec de la littérature luxembourgeoise. Le forum de musique féminin EUTERPE est également organisé par le Cid-femmes. Le centre est soutenu financièrement par le ministère de l’égalité des chances, le ministère de la culture et la ville de Luxembourg. Le Cid-femmes est à l’initiation de projets culturels et socio-politiques, dans le but de promouvoir l’égalité entre hommes et femmes, ainsi que de susciter l’intérêt et de sensibiliser les femmes, hommes, enfants et adolescents pour des thématiques féminines. Le Cid-femmes se situe à Luxembourg-ville, dans la rue Beck.
2.2. Finalités :
Il s’agit d’un site d’information et de recherche.
2.3. Matériaux publiés :
Concernant les matériaux publiés sur le site internet du CID-femmes, on trouve une rubrique intitulée actualité et projets, où sont publiées des informations concernant des conférences organisées par le CID-femmes. Il y a également une rubrique qui s’appelle « What’s on » où l’on voit les conférences du CID-femmes ainsi que l’agenda complet des autres activités qu’il organise. On retrouve aussi les « News » du Cid-femmes. Il y a une rubrique consacrée aux publications du Cid-femmes. Certaines publications sont téléchargeables. Ils ont aussi des archives, où l’on peut consulter certains articles, notamment sur des sujets comme la « Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes ». Dans la rubrique « Biblio » on trouve des critiques de livres, des critiques de CDs, une rubrique appelée magazines qui contient des recensions. Puis il y a également le catalogue de CDs sur le site web. Pour avoir accès au catalogue de la bibliothèque du CID-femmes, on doit se rendre sur le site web de la Bibliothèque Nationale du Luxembourg. En outre, il y a une rubrique qui s’appelle culture où il y a notamment des extraits de livres. Dans la rubrique culture, il y a une sous-rubrique avec les publications du CID-femmes à ce sujet. Puis il y a également une rubrique qui s’appelle politique, où l’on publie par exemple une étude du CNFL sur la représentation des femmes en politique ou des articles autour du droit de vote pour les femmes. On retrouve une sous-rubrique intitulée femmes au Luxembourg ou encore une sous-rubrique qui s’appelle médias et où l’on retrouve des informations concernant les femmes et les médias, comment elles y sont représentées. Une autre sous-rubrique est consacrée à la journée de la femme où l’on retrouve des articles à ce sujet ou encore des suggestions de lecture. Dans la rubrique EUTERPE, on retrouve des échantillons de musique ainsi que des informations sur des femmes musiciennes et des informations relatives à des concerts.
2.4. Contexte dans lequel les matériaux sont offerts :

2.4.1. philologique :
Les matériaux disponibles sur le site le sont sous forme philologique.
2.5. Mise à jour :
Les documents sont mis à jour en relation avec les résultats récents de la recherche historique sur le sujet, d’autant plus que le CID-femmes est à l’origine de nombreuses publications comme des livres au sujet de l’histoire des femmes.

3. Structure et Langages de la Communication
3.1. Métaphore :

Le site s’inspire le plus d’une revue historique.
3.2. Organisation de l’espace logique :
Le site est divisé en sept grandes rubriques, chaque rubrique contenant de nombreuses sous-rubriques. Il y a cependant des interactions entre les différentes rubriques.
3.3. Navigation :
La navigation sur le site est très efficace. Il y a une « Sitemap » où toutes les catégories d’information présentes sur le site sont visibles en même temps. Sinon la navigation se fait via les 7 grandes catégories. En outre, on a accès via la « Homepage » à certaines des informations les plus récentes.
3.4. Connectivité externe :
Il y a une catégorie qui s’appelle « Links » et qui donne accès à de nombreux autres sites internet, concernant le Luxembourg, qui contient par exemple un lien vers le ministère de l’égalité des chances ou vers le site internet des femmes en détresse ; une autre rubrique concerne les femmes dans la branche musicale, qui renvoie par exemple à l’archive femme et musique à Francfort ; puis une rubrique culture, renvoyant par exemple au festival de films de femmes de Bruxelles ; politique et société qui renvoie par exemple à la marche mondiale des femmes ; des informations intéressantes relatives aux femmes comme par exemple la genderwiki ;ainsi qu’une rubrique qui s’appelle networking qui renvoie par exemple aux femmes dans les nouveaux médias.
3.4.1. rôle de l’utilisateur :
L’utilisateur est ici plutôt un lecteur, mais il est pourtant encouragé de participer aux événements organisés ou promus par le CID-femmes, tels des conférences.
3.4.2. instruments de navigation :
Le renvoi à d’autres sites se fait via la rubrique « Links ». Il y a également un renvoi vers la page facebook du CID femmes.

4. Jugement critique
4.1. Description :

Comme précédemment dit, le site est divisé en 7 grandes rubriques : CID, Biblio, Culture, Politique, EUTERPE, What’s on, CID for Kids. A part cela, il y a d’autres catégories : Home, Contact, Links, Downloads, Archiv, Sitemap. Chaque rubrique du site contient un certain nombre de sous-rubriques. La rubrique Downloads est sous-divisée en : bibliothèque, EUTERPE, publications et communications à la presse. La rubrique CID est divisée en : CID-team, où l’équipe du CID-femmes est présentée, CID-info, publications, soutien et 20 ans CID.
La rubrique Biblio contient les sous-rubriques : fonds, news, critiques de livres, critiques de CDs, magazines, archive, catalogue, service.
La rubrique culture est composée de : « Not the Girl you’re looking for », qui est une nouvelle publication du Cid-femmes ; KEK où il s’agit d’un projet pédagogique culturel, et les publications.
La rubrique politique est composée de la sous-rubrique « Si je veux… » où il s’agit du droit d’autodétermination des femmes, une rubrique d’actualité, une rubrique sur le droit de vote, une rubrique sur les femmes au Luxembourg, une rubrique sur les médias, une rubrique qui s’appelle boîte de livres et une rubrique consacrée au 8 mars, consacrée à la journée des femmes.
La rubrique EUTERPE contient un archive de musique, des publications, l’archive Helen Buchholtz, l’archive Lou Koster et l’archive E. Naske. Puis la rubrique « What’s on » contient l’agenda et les conférences organisées par le Cid-femmes. En dernier lieu, on trouve la rubrique Cid for Kids où l’on présente des projets comme de la littérature pour les enfants ou le Kek, où les enfants découvrent des artistes féminins.
4.2. Evaluation :
L’objet principal du site est de attirer l’intérêt des hommes, femmes, enfants pour l’histoire des femmes, des livres écrits par des femmes, de la musique faite par des femmes, des conférences et autres événements au sujet de l’histoire des femmes ou du genre. On veut intéresser au rôle des femmes dans le monde politique ou culturel, on veut promouvoir l’égalité des chances, mais également promouvoir des activités culturelles. Le site me paraît utile, puisqu’il contient beaucoup d’informations intéressantes au sujet de l’histoire des femmes ou de la femme tout court. Ce qui est également intéressant, sont les publications faites par le Cid-femmes. Le public visé est à mon avis très vaste, le site ne s’adresse pas uniquement à un public académique, mais à tout le monde, et pas seulement des femmes, mais on veut également susciter l’intérêt des hommes ou des enfants et adolescents. L’usage peut être à la fois didactique et ludique. Le Cid-femmes est une asbl, et est administré par un comité directeur de sept femmes : Jo Kappweiler, qui est la présidente, Carole Blond-Hanten, Helene Dürlinger, Tréis Gorza, Hermine Koster, Colette Kutten, Cléo Thoma, Christiane Walerich et Dany Weyler. Le contenu qui se trouve sur le site est évidemment fiable même s’il faut dire que les matériaux mis à disposition sur le site internet sont assez limités. Par contre, la collection de la bibliothèque est assez vaste et mise à jour, et le fait qu’il faut passer par le catalogue collectif de la Bibliothèque Nationale constitue un avantage, puisqu’il ne faut alors pas être membre du Cid-femmes pour pouvoir emprunter les livres. Il serait pourtant avantageux s’il était possible de mettre plus de documents sur le site, ou si par exemple la brochure du Cid-femmes serait téléchargeable librement sur le site internet. En tout, le site est quand même très utile pour s’informer au sujet de l’histoire des femmes et de l’actualité les concernant et il est avantageux que le site est régulièrement mis à jour et qu’il y ait une rubrique actualité et projets où l’on est tout le temps au courant des activités récentes du Cid-femmes.

Book review – RAPHAEL, Lutz, Imperiale Gewalt und mobilisierte Nation. Europa 1914-1945. München 2011

 

Lutz RAPHAEL ist Professor für neuere und neueste Geschichte an der Universität Trier. Bei diesem Buch handelt es sich um  um ein akademisches Werk und ist 2011 in München unter dem CH. Beck Verlag erschienen.

Der Autor befasste sich schon öfter mit europäischer Geschichte allerdings nie mit Fokus auf die sozialen Gegebenheiten während der zwei Weltkriege. Es gibt viele Bücher über die Zeit der Weltkriege, allerdings fand ich keine Werke, die die sozialen Auswirkungen dieser Kriege betrachten.

In der Einleitung des Werkes stellt Lutz die Welt im 19. und 20. Jh. und die Nachwirkungen der Weltkriege dar. Zudem definiert er die zwei treibenden Modelle dieser Zeit „Nation“ und „Imperium“. „Eurozentrismus war die kulturelle Begleiterscheinung der militärisch-politischen und industriell-finanziellen Dominanz Europas in der Welt.” (S. 25)

Lutz geht später auf die Folgen des Krieges für die unterschiedlichen Parteien, wie auch auf die Verträge und ihre Folgen ein. Die politische und soziale Situation in der Zwischenkriegszeit wird dargelegt, aber auch Reformen und Bündnisse der Mächte. Eine Massenkultur setzte ein, die sich aus „ dem Zusammenspiel technischer und sozialer Veränderungen“(S.139) gespeist hat.

Lutz geht ebenfalls auf die Weltwirtschaftskrise der 1920er Jahre ein. Dabei werden Ursachen und Folgen der Wirtschaftskrise für die europäische Gesellschaft dargestellt, die „eine Welle des Protektionismus“(S.177) auslöste.

„Der Aufstieg des Faschismus“(S.196) in Italien wird als Ausgangspunkt für die nationalistische Bewegung gesehen, später stellt Lutz dann die Situation in Deutschland und der Sowietunion dar, vor allem in Bezug auf die Kontrolle der Gesellschaft durch den Nationalismus. Der totale Krieg und seine Folgen in den unterschiedlichen Bereichen wie Gesellschaft und Wirtschaft werden anschliessend behandelt.

Die Folgen reichen bis in die 1990er Jahre. Die europïschen Gesellschaften mussten noch viele Jahre unter den Folgen des 2. Weltkrieges leiden. Dies zeigt der Epilog dieses Werkes.

Kommentar:

Mit diesem Werk zeigt Lutz eine neue Art der Geschichte des 20. Jahrhunderts. Neben den zwei Weltkriegen mit ihren Folgen, werden auch gesellschaftliche Veränderungen in der Zwischenkriegszeit dargestellt. Somit hat LUTZ versucht ein schwieriges Jahrhundert in einem Buch zu erklären, immer mit Fokus auf Europa, das in dieser Zeit am stärksten betroffen war und sich am meisten verändert hat. Meiner Meinung nach ist dies dem Autor gut gelungen, denn immerhin lernt der Leser nicht nur etwas über die immer wieder behandelten Kriege an sich, sondern auch die betroffenen Nationen in der Zwischen- und Nachkriegszeit. Für alle, die sich für das 20. Jahrhundert interessieren, ist dieses Buch nur zu empfehlen. Durch die neue Herangehensweise spornt das Buch zu Forschungen im Bereich der sozialen Auswirkungen durch Kriege im Allgemeinen an.

 

 

Book Review – Histoire économique et sociale de la construction européenne, René Leboutte

http://books.google.lu/books/about/Histoire_%C3%A9conomique_et_sociale_de_la_co.html?id=NI1DG7phrjYC&redir_esc=y
© Peter Lang

René Leboutte, docteur en histoire et titulaire de la chaire Jean Monnet, est professeur à l’Université de Luxembourg.

En 2008 il a publié avec l’aide du Leverhulme Research Fellowship, un livre intitulé “Histoire économique et sociale de la construction européenne”.

Il s’agit d’un livre historique académique adressé au large public, retraçant le parcours de l’intégration européenne depuis la première guerre mondiale à nos jours.

La question qui se pose au long de l’œuvre est: Faut-il unifier l’Europe en une vaste zone de libre-échanges? Dans le livre Leboutte essaie de répondre à cette question fondamentale en se basant sur des sources.

Le livre est divisé en six parties:

La première partie indique les voies possibles pour l’intégration européenne et l’origine du marché commun. La deuxième partie porte sur la mise en place du marché commun et ses étapes importantes comme le Plan Schuman, la création de la CECA et le traité de Rome. La troisième partie analyse l’Union économique et monétaire et le marché unique. La quatrième partie aborde les politiques communes, le budget européen et le rôle que joue la Communauté européenne dans le monde. La cinquième partie traite les mutations industrielles et agricoles au sein de la Communauté européenne, comme la politique énergétique et l’instauration de la politique agricole commune. Enfin, la dernière partie se concentre sur la cohésion économique et sociale. Elle aborde par exemple ou encore la politique sociale européenne ou encore le fonctionnement de la Banque européenne d’investissement.

Il faut préciser que pendant les trois premières parties l’auteur effectue une analyse chronologique dans ces propos, mais à partir de la quatrième partie il propose une analyse thématique.

Ce livre s’avère intéressant et instructif, car il donne un large point de vue sur l’histoire d’intégration européenne. En plus, le livre est très bien structuré en diverses parties qui comportent différents chapitres avec des titres et des sous-titres.

D’autres auteurs ont déjà publié des livres sur l’intégration européenne. Par exemple Sabine Saurugger a publié en 2009 « Théories et concepts de l’intégration européenne ». Cependant ces livres s’adressent aux spécialistes de la construction européenne (historiens, politologues) et s’avèrent un peu complexes pour le large public. Mais le livre de René Leboutte propose une analyse détaillée et très compréhensible pour le large public.

Un autre historien qui a abordé la construction et l’intégration européenne est Pierre Gerbet. En 2007 il a publié « La construction de l’Europe » aux éditions Armand Colin. Tout comme Leboutte, Gerbet analyse les grands chapitres de la construction européenne, comme la création de la CECA ou encore la mise en place du marché commun. Cependant contrairement à Leboutte, Gerbet s’est basé seulement sur l’axe chronologie et non sur une analyse thématique.

Donc, l’objectif primordial de l’intégration européenne a été atteint, l’Europe s’est unifiée dans la paix: « Certes, le chemin a été semé d’embûches et il a plusieurs fois été bifurqué, mais, après un quart de siècle, l’Europe constitue un marché unique plus grand que celui des États-Unis ». En plus, Leboutte fait le constat que l’Europe est aujourd’hui « plus unie qu’en 1980 ». Mais sa géométrie est devenue variable et ses frontières imprécises.

Homepage Review – European History Primary Sources

Selon l’introduction de ce site historique, il s’agit avant tout d’un sommaire de sites scientifiques, qui rend possible l’accès à des sources primaires d’histoire européenne de tout genre. Le site regroupe pas seulement des métas sources, mais aussi des liens de documentations archivées et sources digitales.

Chaque site web énoncé est accompagné par une brève description et ensuite catégorisé par cinq différentes rubriques, qui vont être analysées par la suite.
De plus, ce site peut être accessible sans aucune obligation supplémentaire, mais pour certains documents plus confidentiels, une régistration est nécessaire.
Au niveau de l’actualisation du site, il faut noter que ce site essaye de suivre les événements contemporains. Plus précisément, il cherche à renouveler et de remplacer régulièrement les sujets historiques. Le site propose même un moyen d’avertissement personnel via « RSS feeds », « Twitter », « Facebook » ou même par une simple adresse électronique, quand un nouveau lien vient d’apparaître.
D’ailleurs, les utilisateurs registrés ont la possibilité d’ajouter des signets, des commentaires ou propositions, qui vont être traités par la suite.
Quant aux cinq rubriques différentes, le lecteur peut choisir des liens en liaison avec des pays, langues, périodes, sujets et types de sources. Par exemple la rubrique des pays rend possible d’accéder à d’autres machines de recherche ou sites web (p. ex. Luxembourg = luxemburgensia).
D’ailleurs, le visiteur peut, au niveau national (choix entre 10 pays) et européen, accéder à d’autres sites web proposés.
De même, le site informe via des nouvelles régulières sur la page principale, si une actualisation, respectivement une adjonction a pris lieu.
Finalement, on peut retenir que le site dispose toutes les qualités exigées pour être qualifié comme bon site web historique. Plus précisément, le site propose une vaste diversité de liens traitant des sujets scientifiques européens du passé et d’actualité.

Book Review – Geschichte Europas von Wolfgang Schmale

Mit seinem Buch versucht Wolfgang Schmale auf eine besondere Art und Weise Europa zu analysieren. So analysiert er nicht wie andere Geschichtswissenschaftler es schon taten die Europäische Geschichte über die Ereignisgeschichte. Seine zentrale Problematik besteht „darin, die Geschichte Europas an dem festzumachen, was Menschen in der Antike, im Mittelalter und in der Neuzeit als Europa bezeichnet, als Europa wahrgenommen haben.“

Schmale möchte sozusagen ein Zeitzeugen-Bild Europas erstellen, dabei analysiert er zum Teil und für den Leser gut verständliche Karten. Er beschäftigt sich nicht nur mit Text-Quellen sondern benutzt Bilder. Er beschreibt dies folgendermaßen: „Europa ist da, wo Menschen von Europa reden und schreiben, wo Menschen Europa malen oder in Stein meißeln, […] wo Menschen Europa imaginieren und visualisieren, […].“

Dabei ist sein Spektrum, welches er analysiert, ziemlich breit. Mittelalter und Altertum werden von den Seitenzahlen her – 24 Seiten – kurz aber informationsreich abgehandelt. Für Wolfgang Schmale ist die Neuzeit in seiner Analyse die wichtigste Epoche für die Selbstemanzipation Europas besonders in der Selbstreflexion der europäischen Menschen. In dieser Epoche entstand ein bis heute gültiger Europabegriff: Europa – Nation – Christenheit, welches heute von folgenden Begriffen ersetzt werden: Europa – Regionalismus – Globalisierung.

Der Europäismus spielt ab dem 19. Jahrhundert immer wieder eine Rolle. Schmale analysiert ebenfalls in diesem Buch die faschistischen und nationalsozialistischen Europapläne,die er unter dem Begriff “Antieuropa” zusammenfasst. Danach folgt die Zeit der Nachkriegsentwicklung, die Anfänge der europäischen Integration seit 1945, wurden hier wie in anderen Kapiteln mit besonders anschaulichen Illustrationen versehen.

Der letzte Abschnitt des Buches, Europas österreichische Krise im Jahr 2000, ist der, den man als Leser am kritischsten betrachten sollte. In diesem Teil werden die von der EU unternommenen Aktionen gegen die im Jahr 2000 gewählte schwarz-blaue Regierung Österreichs aufgezeigt. Wolfgang Schmale sieht diese Aktionen als gescheitert an. Obwohl er in den vorangegangenen Kapiteln immer wieder aufzeigt, dass Europaideologien öfters für verschiedene Zwecke benutzt wurden. Man könnte kritisieren dass in diesem Kapitel Wolfgang Schmale nicht objektiv an das Thema herangeht.

Homepage review – Themenportail Europäische Geschichte

 

Logo TP Europische Geschichte

Le site faisant l’objet de ce commentaire est présenté, actualisé, par des chercheurs en Histoire de l’Université Humbolt de Berlin. Il s’agit donc d’un site scientifique destiné en premier lieu à des universitaires dans le domaine de la recherche ou de l’enseignement.

La rédaction du site est assurée par l’Institut des Sciences historiques, qui fait partie de la faculté de philosophie I. Les responsables de la rédaction se nomment Anne Lammers et Thomas Meyer, accompagnés de plusieurs professeurs chargés de l’édition, tandis que le directeur du projet est le Dr. Rüdiger Hohls.

Les centres d’intérêt du site tournent autour de l’histoire de l’Europe et des Européens du XVIIIe siècle à nos jours. Il rassemble des textes, des articles, des photographies ou encore des cartes concernant cette période bien définie utiles aux étudiants et professeurs. Parmi les thèmes abordés peuvent être cités: Gesellschaft und Kultur, Wirtschaft und Umwelt, Diktatur und Demokratie, Krieg und Frieden ou encore Europa in der Welt. Ce catalogue de sujets est intéressant dans la mesure où ils sont concrets et se rapportent aux préoccupations quotidiennes des citoyens européens.

En ce qui concerne l’architecture du site, il est bilingue, Anglais et Allemand, présenté en trois colonnes réparties en une grande, centrale, et deux petites, périphériques. Les principales couleurs sont le bleu et le noir sur fond blanc ou bleu. Le contraste des couleurs est assuré, ce qui rend le site lisible. Mais il est un peu dommage que les concepteurs du site n’ait pas mis plus d’accent sur d’autres couleurs comme le vert, le jaune, le rouge, entre autres. La couleur jaune apparaît de manière marginale juste dans l’entête pour désigner les pays membres de l’UE.

La police des caractères varie aussi, plus élevée pour les titres, par opposition aux caractères normaux. Il y a relativement de l’harmonie dans la présentation du site qui reste sobre et clair, malgré le nombre insuffisant de couleurs utilisées. Cette cohérence ressort par exemple dans l’ajustement de l’entête par rapport au reste du texte. Celle-ci propose deux visions de l’Europe : une vision interne à gauche avec l’effigie de l’UE. Le volet externe situe l’Europe par rapport au reste du monde, à droite, avec en arrière fond des écritures manuscrites en blanc, sur fond bleu, ce qui signale à tout visiteur qu’il s’agit d’un site historique qui effectue un travail sur les sources.

D’ailleurs, concernant les sources, elles sont multiples : essais, cartes, articles, livres, réparties globalement de manière acceptable. Des liens viennent compléter ce travail de sources. Ils orientent vers des sites de l’UE, comme Die EU im Überblick, Deutscher Bildungsserver-EU, The European Library, Europäische Union, entre autres. Il existe même une extension vers Wikipédia. Pourtant des outils importants comme Facebook ou Twitter font défaut.

En somme, ce site disciplinaire d’Histoire européenne est un bon outil de critique historique. Son architecture sobre mais efficace sont des éléments importants, sa lisibilité aussi est remarquable. Pourtant, il serait encore plus profitable avec une diversité de couleurs, des extensions Facebook, Twitter ou encore l’apport de documents audios ou vidéos.

Pour arriver sur le site, cliquez ici.

 

Homepage Review – European History Online / Europäische Geschichte Online

Die Internetseite Europäische Geschichte Online (Abk. EGO) ist eine Internetseite, die sich mit der transkulturellen Geschichte Europas befasst. Dieses Projekt betrachtet die europäische Geschichte als eine Geschichte interkulturellen Austauschs.

Erst vor kurzem ist der 200. Beitrag auf der Seite erschienen. Der Herausgeber der Seite ist das Mainzer Leibniz-Institut für Europäische Geschichte.

Zeitlich begrenzt ist der Rahmen des Ego Projektes zwischen der europäischen Neuzeit vom Ausgang des Mittelalters bis in die Zeitgeschichte hinein.

Die EGO Beiträge sind sowohl auf deutsch, wie auch in englischer Sprache wiederzufinden. Die von EGO behandelten Themen reichen von Religion, Politik,Recht, Musik, Kunst, Literatur bis hin zu Wirtschaft, Technik und Militär, Wissenschaften und Medizin.

Der von EGO behandelte Raum “Europa” sollte nicht als politische oder geographische Definition falsch verstanden werden. Da sich der Begriff “Europa” im Laufe der Zeit immer wieder veränderte, wird zu jeder analysierten Zeit der zeitgenössische Europabegriff benutzt. 

Die Ego Seite an sich ist klar nach folgenden Themensträngen gegliedert:

-Zeit

-Themen

-Raum

-Thread

Fast alle Beiträge werden durch Bilder passend unterstützt.

Die Beiträge von EGO dürfen mithilfe der Zitierrichtlinien benutzt werden.