Website Review: The United Nations High Commissioner for Refugees

1.      Identification

 

1.1.Url-Uri

L’Url de la page web est : http://www.unhcr.org/cgi-bin/texis/vtx/home. Il s’agit là de la page en langue anglaise. Cependant la page web existe en différentes langues et ce sous l’adresse des pays respectifs. A titre d’exemple, le site est accessible via les adresses suivantes :

  • http://www.unhcr.fr/cgi-bin/texis/vtx/home pour la France
  • www.unhcr.be pour la Belgique
  • www.unhcr.de pour l’Allemagne
  • www.unhcr.ch pour la Suisse
  • www.unhcr.at pour l’Autriche

L’analyse suivante s’intéressera à la version anglaise du site web, donc celle accessible via l’adresse Url : http://www.unhcr.org/cgi-bin/texis/vtx/home.

 

1.2.Titre

Le titre du site est « UNHCR The UN Refugee Agency ». Ce titre change selon la langue du site. L’abréviation UNHCR dans le titre est l’abréviation pour United Nations High Commissioner for Refugees.

 

1.3.Date de réalisation

Selon la date du copyright le site a été créé en 2001. Les ressources accessibles sur le site remontent à des dates ultérieures à 2001. Le site ne comporte pas de note éditoriale indiquant la date de mise en ligne du site. Nous ne pouvons que nous reporter à la date de copyright sans avoir la certitude qu’il s’agit là de la date de mise en ligne du site web.

 

1.4.Date de dernière mise à jour

Le site web est mis à jour de manière pratiquement quotidienne, et ce même plusieurs fois par jour. Selon le jour de l’analyse, la dernière mise à jour a été faite le 26 février 2013 à 18:39:31. Il faut préciser qu’il s’agit ici du site en version anglaise.

 

1.5.Auteur(s)

L’auteur concernant la paternité du contenu du site web est l’United Nations High Commissioner for Refugees. Concernant l’auteur de la réalisation technique du site web, il semble qu’il s’agit également de l’United Nations High Commissioner for Refugees.

 

1.6.Editeur institutionnel

L’éditeur institutionnel est lui aussi l’United Nations High Commissioner for Refugees. Dans le cas du site web analysé, l’UNHCR est l’institution qui accueille le site, lui donne l’hospitalité sur son serveur,  le commandite et l’édite. L’UNHCR est responsable de l’édition et de la publication du contenu du site web.

 

1.7.Dimension

En ce qui concerne la dimension du site web, il est impossible de dénombrer le nombre exact de pages dont le site web est composé. Le site web analysé est très profond et dynamique. De plus, le site existe en plusieurs langues différentes, sous les initiales de différents pays. Etant donné que la mise à jour du site est pratiquement quotidienne, il peut en être déduit qu’il s’agit d’un site web extrêmement dynamique qui rend le dénombrement quasi impossible.

 

1.8.Modalités d’accès

L’accès au site web est libre. On trouve une déclaration d’accessibilité sur le site, déclarant que l’ UNHCR is committed to making this website as accessible as possible to persons with disabilities. To this end, this website was developed and is maintained using World Wide Web Consortium (W3C) guidelines for accessibility. ((Accessibility statement. Online http://www.unhcr.org/pages/4a1fcdb16.html. Dernière consultation le 26.02.13 à 19:32.))

De plus, le site web donne des informations spécifiques concernant la confidentialité de l’information ainsi que la protection des renseignements personnels. On trouve sur le site web toute une page sur ce sujet.

The UN Refugee Agency has created this privacy notice to demonstrate our firm commitment to internet privacy. The following describes our policy concerning the gathering and sharing of information through this web site. In brief, our policy is:

 

  • we monitor general trends in the use of our web site but do not ever track individual visitors;
  • we do not collect information concerning individual visitors unless that information is voluntarily disclosed, for example by filling out our online donation form;
  • we do not sell or rent information voluntarily disclosed to us, nor do we share it with any third parties except for completing a donation transaction that you initiate;
  • individuals who join the UN Refugee Agency online or who sign up for specific services will only be contacted by UNHCR for purposes related to the work of the Organization;
  • at any time, visitors who have signed up for a specific service can have their names removed from the relevant mailing list.

 

For further information, please see below.

 

Normal web site Usage

 

You can visit all portions of the UN Refugee Agency’s web site without telling us who you are and without revealing any personal information. The only information we collect from a normal web site visit is the name of your Internet service provider, the browser and type of machine you are using, the web site that referred you to us, the pages you request and the date and time of those requests.

This information is collected on an aggregate basis only. For example, UNHCR tracks which pages are most popular among visitors as a whole, but we do not track information on which pages an individual visitor might look at during a visit to our site. We do not collect any other information – such as the name, mailing address, email address, or phone number of the visitor – without the visitor’s knowledge and permission.

All information that we collect is used for internal review only and not shared with third parties. We use this information to generate statistics and measure site activity to improve the usefulness of the site to our visitors.

 

Collection of Personally Identifiable Information

 

There are instances where the UN Refugee Agency requests personally identifiable information, such as name, mailing address, email address, and possibly additional information, to provide you with specific services or correspondence.

Personally identifiable information that you provide in this way will not be given to any third parties except for the use of completing a donation transaction that you initiate.

The UN Refugee Agency web site will not post personal contact information for volunteers, including their email address, street address and phone numbers, without that individual’s consent. ((Privacy Policy. Online http://www.unhcr.org/pages/4a1f96216.html. (Dernière consultation le 26.02.13 à 19:41.))

La majorité des informations sur le site web sont donc librement accessible. Pour certaines informations seulement, des informations sur la personnalité doivent être fournies. L’accessibilité aux informations du site est gratuite. Il y a possibilité de faire un don à l’organisation, cependant à titre purement volontaire. L’accessibilité à la quantité d’informations n’est pas soumise à une certaine contribution par don.

 

1.9.Statistiques d’usage

Le site web ne mentionne pas le nombre de visites sur le site. Cela, ni par jour, par mois ou depuis sa mise en ligne. Le site contient des statistiques, mais pas de statistiques concernant le nombre de visites sur le site.

 

1.10. Date de fichage du site

Le site web est analysé en date du mardi, 26 février 2013.

 

1.11. Recenseur

La personne effectuant la revue critique du site est :

Talbi Sihem

Etudiante en Master en Histoire européenne et contemporaine à l’Université du Luxembourg

Coordonnées : sihem.talbi.001@student.uni.lu

 

2.      Contenus

 

2.1.Sujet

Le site web est censé être un reflet du travail effectué par l’Office du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. L’approche disciplinaire du site est sociale, politique et historique. Le site ne se réduit pas un point géographique définit, mais s’intéresse aux réfugiés et aux politiques d’asile à travers le monde. Le site définit le travail de l’UNHCR  de la manière suivante, l‘agence a pour mandat de diriger et de coordonner l’action internationale visant à protéger les réfugiés et à résoudre les problèmes de réfugiés dans le monde entier. Elle a pour but premier de sauvegarder les droits et le bien-être des réfugiés. Elle s’efforce de garantir que toute personne puisse exercer le droit de chercher asile et de trouver un refuge sûr dans un autre Etat, avec pour option de retourner chez elle de son plein gré, de s’intégrer sur place ou de se réinstaller dans un pays tiers. Elle a également pour mandat d’aider les apatrides. ((Office du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. En ligne http://www.unhcr.fr/pages/4aae621ebf.html. Dernière consultation le 26.02.13 à 20:02.))

Le site a comme thème principal les réfugiés et les demandeurs d’asile. Il s’intéresse à la situation internationale du point de vue politique et sociale. Il suit les différents conflits dans le monde et ses conséquences sur les personnes civiles.

 

2.2.Finalité

Les finalités du service sont diverses. On peut les qualifier de recherche, car le site met à disposition de nombreux documents, de directives politiques et de comptes rendus au sujet des réfugiés. De protection, une protection pour les réfugiés à l’aide de dons des internautes, une protection en informant les internautes sur les conflits actuels et ses conséquences. Le site comporte une forte finalité informative, que ce soit sur le travail effectué par l’UNHCR ou en matière de politique d’asile des différents pays. Une des finalités du site est également le fait de rendre public le travail de soutien de l’agence aux personnes civiles. Le site tient à sensibiliser la communauté au sujet des réfugiés et à promouvoir les actions et le travail de l’agence.

 

2.3.Matériaux publiés

Les matériaux publiés sur le site sont très divers et très multiples. On y trouve en autre des cartographies, des statistiques, des comptes rendus de conférences, des débats, des photographies, des vidéos, des archives, des directives, des essais, des articles, des liens externes etc.

 

2.4.Contexte dans lequel les matériaux sont offerts

 

2.4.1.      Philologique

Les auteurs des articles sont cités et également l’endroit d’où ils écrivent.

 

2.4.2.      Temporel

Les articles sont publiés dans un contexte temporel en rapport avec soit l’actualité, soit dans le contexte de la période présenté dans la page concernée. Sur la page d’accueil, les thèmes les plus récents sont mis en évidence.

 

2.4.3.      Textuel

Les articles sont mis dans un contexte précis et les photographies sont en rapport avec l’article qui l’accompagne. Les images contiennent toutes une source ainsi qu’une description.

 

2.5.Thèses historiographiques

Comme il ne s’agit ici pas d’un site web historique, on ne peut en déduire une thèse historique qui est censée être défendue.

 

2.6.Misa à jour

La mise à jour du site est quasi quotidienne. Le site web traite des sujets d’actualité et suit de près l’actualité internationale et politique.

 

3.      Structure et langages de la communication

 

3.1.Métaphore

Le site s’inspire le plus de l’actualité internationale et politique et du langage de journaliste et de politicien.

 

3.2.Organisation de l’espace logique

L’espace est organisé de manière assez logique. A côté de chaque article on trouve des suggestions de thèmes en rapport avec l’article. De plus, à la suite de chaque article on trouve des liens à des pages internes qui définissent des termes utilisés dans l’article. Les informations présentées dans les blocs parallèles à l’article sont en rapport avec l’article. Cependant, il n’y a pas forcément une hiérarchie dans la présentation des différents liens internes.

 

3.3.Navigation

La barre de navigation permet de se retrouver sur le site, ce qui est indispensable, étant donné le grand nombre de pages et d’informations accessibles sur le site. Par moment on peut tout de même se perdre dans la navigation du site, ce qui est justement due à son envergure. La mise en relation des différents articles permet tout de même de naviguer facilement selon un sujet choisit.

 

3.4.Langages de communication

L’hypertexte du site est bien développé. Les articles sont accompagnés de photographies, de cartes, de tableaux de statistiques, de graphiques, de vidéos, de glossaires  et de documents supplémentaires en relation avec le sujet. L’hypertexte utilisé est cohérent avec le thème de l’article et permet une étude approfondie et une visualisation du sujet.

 

3.5.Connectivité externe

Le renvoi à des sites externes est assez restreint.

 

3.5.1.      Rôle de l’utilisateur

Le rôle attribué à l’utilisateur est celui de lecteur et spectateur. Dans une certaine limite également celui de collaborateur surtout par le lien permettant de faire un don.

3.5.2.      Instruments de navigation

Le site contient des raccourcis vers Facebook, Twitter, YouTube, Storytelling, Flickr, Pinterest, Instagram, Google+, Scribd, RSS Feed. On peut en déduire que le site web donne de l’importance à sa présence dans les différents réseaux sociaux et à permettre aux internautes de débattre sur le sujet.

 

4.      Jugement critique

 

4.1.Description

Le site web contient énormément de contenu et il est difficile d’en analyser sa totalité. Les articles publiés sur le site sont très divers, cela va de la description de la condition de vie des réfugiés à la situation politique des pays en conflits. Le sujet du site est bien étudié et comporte de nombreuses définitions en rapport avec l’asile, la migration et les réfugiés. L’onglet Rechercher par pays permet de connaître la situation et la politique d’asile d’un pays définit. Le site tente de publier un maximum d’informations sur la situation des réfugiés à travers le monde et de présenter son travail sur le sujet en matière de protection, de ravitaillement, de travail éducatif, social et de santé.

Il s’agit d’un site qui suit l’actualité et ne se concentre pas forcément à l’historique. Cependant on peut toujours retrouver un dossier ou une page en rapport avec l’historique de l’agence et de la situation des réfugiés.

 

4.2.Evaluation

Le site permet d’avoir une bonne compréhension du statut de réfugié et de suivre les conflits internationaux et leurs conséquences pour la population civile. Le site sensibilise ses lecteurs à la situation des réfugiés. Les statistiques s’avèrent nécessaire pour une étude comparative et par pays en matière de politique d’asile et de flux de réfugiés.

L’autorité de l’auteur et de l’institution qui publie les informations sur le site est bel et bien légitime. Ainsi l’agence tient à défendre les droits des réfugiés et à leur apporter un maximum de protection et d’aides.

Une difficulté se présente quand on navigue sur le site sans être à la recherche d’un thème ou d’un pays spécifique. Due à la grande quantité d’informations, il est préférable de naviguer à travers le site en étant à la recherche d’une information précise. Autrement, le site est surtout un moyen de s’informer de l’actualité des demandeurs d’asile à travers le monde. Certaines sources sont plus difficiles à trouver, là encore due au grand nombre de ressources accessibles.

Quelques sous-divisions supplémentaires seraient avantageuses à une meilleure navigation sur le site. Cela dit, un point très positif du site est la libre accessibilité à toutes les ressources, cela sans avoir à s’identifier.

En général, le site est utile si l’on sait ce que l’on cherche et permet d’avoir une vue générale sur la situation actuelle des réfugiés dans le monde. Sur ce point, le site est très complet. Ce qui fait un peu défaut, c’est le volet historique, qui n’est que très restreint sur le site.

Centre de Documentation et de Recherche sur la Résistance et sur l‘Enrôlement forcé

Identification

Url-Uri du site http://www. secondeguerremondiale.public.lu/fr/index.html
 Titre  Seconde Guerre mondiale et le sous-titre est centre de Documentation et de Recherche sur la Résistance et sur l’Enrôlement forcé
Première actualisation du site 06.05.2010 (indiquée dans « A propos du site »)
Dernière actualisation du site 07.12.2012 (indiquée dans « Acteurs »)

Les auteurs sont deux centres de documentation et de recherche, deux comités directeurs du souvenir et deux fondations. Mais surtout le site est fait techniquement par « eluxembourg », qui est lancée par le gouvernement du Luxembourg. « Renow » est le référentiel officiel de normalisation pour ces types de sites web du gouvernement luxembourgeois. Ce site est donc réalisé dans ce cadre. De Plus ce site était surtout une idée du gouvernement (indiquée dans la rubrique « à propos du site »).

L’éditeur institutionnel est le centre de Documentation et de Recherche sur l’enrôlement forcé (CDREF) qui alimente le serveur, mais les informations diffusées n’engagent pas la responsabilité du CDREF, car cela est fait par la gouvernance électronique (a propos du site).

Le nombre de pages n’est pas indiqué exactement et pour cela on ne peut pas vérifier le nombre de pages.

L’accès est libre pour le site et si on a des questions on peut envoyer un mail.

Sur le site, il n’existe pas de compteur de visiteurs.

La date de fichage ou le site est analysé n’est pas indiqué sur les sites. On trouve seulement la date de la première actualisation.

Contenus

2.1 : Le sujet du site se base sur l’histoire de la seconde guerre mondiale. Surtout sur les deux libérations du Grand-duché de Luxembourg, la bataille des Ardennes, les luxembourgeois dans les camps de concentration, dans la déportation et aussi sur la fin de guerre janvier – mai 1945.

2.2 : Finalités : On peut faire une recherche en ligne sur un sujet, mais on peut aussi trouver une rubrique pour des différents musées au Luxembourg ou dans la Grande Région. Dans la rubrique « sentiers historiques » on trouve d’autres services pour s’informer sur la deuxième guerre mondiale.

2.3 : Les matériaux qu’on trouvent sur le site sont de différentes types par exemple des photos, des dossiers thématiques, des publications en livres, des lieux d’histoire etc. De plus on trouve dans la rubrique « Actualités » l’annonce de conférences, de vernissage ou même de voyages. En outre il existe un archive ou tous les documents sont énumérés.

Contexte des matériaux

2.4.1 : Tous ce qui existe sur le site sont publié par le centre lui-même. On ne sait pas exactement qui a écrit ses textes et ou les documents viennent.

2.4.2  et 2.4.3: Tous les textes et documents sont de manière chronologique, mais on n’indique pas qui a écrit ses textes. Les documents sont bien en rapport avec les historiques présentés et décrit sur le site. De plus le format textuel n’est pas si difficile car tout le monde peut lire les textes, car ils ne sont pas écrits de manière scientifique exagérée.

2.5 : Les thèses historiques sur ce site se basent surtout sur la deuxième guerre mondiale et ce centre de documentation organise des tables-rondes sur des sujets thématiques, des visites sur des lieus de mémoires et aussi des matinées pédagogiques pour les écoles et tout le monde. Dans la rubrique « Travail d’histoire et de mémoire » on reçoit tous les informations nécessaires.

2.6 : C’est pas une mise à jour récent, mais le site donne tous les informations nécessaires pour recevoir des informations sur la seconde guerre mondiale. La recherche historique est en relation avec les résultats et il n’est pas nécessaire de faire une nouvelle mise à jour.

Structure

3.1 : Le site s’inspire sur une « métaphore » de différentes types, par exemple le site présente des expositions de livres et aussi des expositions par rapport aux sujets élaborés. Une bibliothèque n’existe pas sur le site, mais une rubrique qui indique les publications autour de la seconde guerre mondiale. L’archive indique sur le site donne seulement l’information sur des expositions et des conférences qui sont organisés par le centre de documentation. De plus les places publiques se trouvent dans la rubrique « musée » ou les gens peuvent visités des lieux de mémoires et des monuments.

3.2 : Pour l’organisation de l’espace logique, je n’ai pas trouvé de réponses.

3.3 : Navigation : Sur le site il n’existe ni de cartes et ni d’index. Mais on a plusieurs barres de navigations. La barre de gauche indique tous les sujets et les informations nécessaires pour trouver des informations qu’on a besoin. On dessous du titre il existe une barre de navigation qui donne plus d’informations sur le site et les personnes qu’on peut contacter pour s’informer ou poser de questions. Dans la barre du « liens » on trouve des musées, des bibliothèques, des camps de concentration, etc. Tous ce qui est en rapport avec le sujet de la seconde guerre mondiale. Ces liens, sont des liens européens de France, d’Allemagne, de la Belgique et d’Autriche, mais aussi les liens nationaux situés au Grand-Duché de Luxembourg.

De plus on trouve une troisième barre de navigation au dessus de la photo de la Grande-duchesse Charlotte. La on peut avoir de l’aide pour des recherches simples et avancées. Ensuite on trouve des explications a propos du site et aussi comment l’aspect légal est organisé.

3.4 : La langue de communication n’est pas difficiles, car les hypertextes figurent bien dans le site et sont facile à lire. C’est pour cela que la navigation est facile à effectuer. De plus les images proposées sur le site, interprètent le message de seconde guerre mondiale car elles sont en rapport avec les sujets traités. Le style du site est pour que tous le monde peut comprendre les textes et peut s’aperçu des informations. Tous les textes et documents sont écrits en français.

3.5 : Connectivitéexterne : Sur le site on trouve dans la rubrique « Acteurs » tous les centres de documentation avec des références aux personnes qui sont responsables. De plus on trouve des adresses, des numéros de téléphone, etc. pour pouvait contacter les différentes associations. On peut aussi remplir un formulaire pour donner un feed-back sur le site. Mais si on a besoin d’aide ou avoir plus d’information on peut toujours écrit un mal pour avoir plus d’information.

3.5.1 : Le rôle de l’utilisateur est celui d’un spectateur et d’un lecteur. Car il observe tous les sujets et s’informe sur des sujets différents. De plus le spectateur regarde comment le site est fait et comment on peut l’utiliser. Le rôle du lecteur est que celui lire les textes et les analyse de manière critique. Entre outre il fait attention au style et au format des textes.

3.5.2 : Pour les instruments de navigations j’ai seulement trouvé un archive et des adresses email pour contacter des personnes responsables pour des sujets précis. Mais pour les autres point j’ai pus trouvé de réponse.

4.) Jugement critique

4.1 : Description du site

Le contenu du site est en relation avec la seconde guerre mondiale. Plus précis sur la résistance et sur l’enrôlement forcé. De plus ce site est aussi installé pour pouvoir travailler sur l’histoire et ma mémoire, pour que les jeunes et tous le monde n’oublient pas la souffrance et le mal que les luxembourgeois ont souffrent sous le régime nazis. Le centre de documentation est spécialisé de garder la mémoire et de donner aux gens la possibilité de faire des recherches à propos de la seconde guerre mondiale. En outre, le site est réalisé par le gouvernement pour donner l’occasion à la population de s’informer de plus sur l’occupation allemande et la souffrance du peuple luxembourgeois. Le contenue du site on peut aussi utilisé pour faire des recherches sur des sujets précis et contacté des personnes qui sont spécialiste dans des secteurs différents.

Pour décrire les divers chapitres, il s’agit des sous-chapitres pour mieux expliquer les différentes actions du centre de documentation. Mais aussi de donner l’occasion à l’utilisateur de s’informer de plus. Il existe onze chapitres différents. Dans le chapitre des «Acteurs » on trouve des centres de documentation, des comités et deux fondations qui travaillent sur l’histoire et la mémoire au Grand-duché du Luxembourg. Dans le chapitre « Commémoration » le site se concentre sur la chronologie, des cérémonies et les deux d’histoire de mémoire pour sauvegarder le devoir à l’histoire. Dans le troisième chapitre il s’agit du travail d’histoire et de mémoire qui est surtout adressé aux jeunes pour que ceux peuvent mieux comprendre les événements historiques. Dans le chapitre « Musées » on présente un certain nombre de musées qui veulent visualiser les thématiques en rapport avec les années 1940 – 1945.

Dans le chapitre « Sentiers historiques » il s’agit de différentes manières comment on peut garder la mémoire. Cela veut dire que les sentiers historiques permettent aux citoyens de saisir l’empreinte de la deuxième guerre mondiale qu’elle a laissé par exemple la promenade de souvenir à Reisdorf.

Dans les chapitres de « L’Actualité » et des « Publications » on présente des expositions, conférences, cérémonies, etc. tous en rapport avec le contenu du site. On trouve aussi un archive ou les utilisateurs peuvent regarder les différentes événements. Dans les « Publications » ont trouvent des livres sont apparus les dernières années. De plus on peut les consultés par PDF en langue français. Le « Dossier thématique » regroupe les cérémonies des dates pour le 60ieme anniversaires que le Conseil du gouvernement à retient. Le chapitre « Photos » visualise des différentes événements lors des années 2009 – 2010. Le chapitre « Législation » présente l’arrêt ministériel et aussi les règlements du mémorial au Luxembourg. Ce sont partiellement des dossiers parlementaires. Dans le dernier chapitre on trouve dans « L’annuaire » encore une fois la liste des centres, des comités et des fondations.

4.2 : Evaluation

Ce site du centre de documentation et la recherche sur la Résistance et sur l’enrôlement de force est utilisé d’une manière didactique. Car le site l’indique déjà sur son home page, qu’il est important que pour accéder au passé cela a pour but de répondre aux intérêts et aux aspirations de la jeunesse. A cause de ce choix les jeunes peuvent mieux comprendre les événements historiques et garder la mémoire.

Pour évaluer le site on peut constater qu’il est très visible et traite les sujets sensibles très bien. Si on regarde aussi les photos, elles redonnent l’atmosphère, de ne pas oublier les événements de la seconde guerre mondiale. De plus le concept du site est visé à toute sorte de public car tout le monde peut utiliser ce site pour avoir des informations. En outre les textes sont pas si difficiles à lire et donnent des réponses courtes et exactes. Les ressources présentées du site sont en relation avec les matériaux publics.

Je trouve aussi bien que le site donne des informations autour des sentiers historiques, pour que les gens puissent faire des promenades dans le passé et voir comment les gens ont risqué leur vie. Mais aussi de voir ou était et sont les bâtiments importants de cette période. De plus je constate, que le site est si bien organisé pour qu’il est accessible pour tous les âges, de jeunes jusqu’aux gens âgés.

Le contenu agit comme transporteur d’informations mais on peut critiquer que le site présente pas de texte de revue ou d’article publié en presse. Un autre point de critique est, que la bibliographie (publications) n’est pas si récente. Pour moi je voudrais plus de livres, articles, etc. qui sont en rapport avec la seconde guerre mondiale et ou on a la possibilité de les consulter. On peut aussi critiquer que l’archive présenter au site n’est pas si spectaculaire, car l’archive à seulement afficher de conférences, des expositions, etc.

Pour moi je souhaite un archive ou on trouve des anciens photos, des textes et mêmes des documents des personnes de ce temps. Cela peut reconfigurer le site encore plus intéressant, vivant et attractif. Une autre proposition qu’on peut créer et d’installer une base de données ou on peut rechercher des documents comme par exemple sur le site de l’archive nationale. (www.anlux.lu) Cela peut faciliter les recherches des personnes et comme ça on peut voir directement si les documents qu’on cherche sont présent. Et si non on n’a pas besoin d’y visiter le centre.

Mais on tout on peut consulter le site du centre de documentation pour avoir une vie historique sur la deuxième guerre mondiale et si on veut plus d’informations on peut contacter les différents personnes qui sont en charge des sujets précis.

Website review: Mediaevum.de

Le site Mediaevum.de (http://www.mediaevum.de/haupt2.htm recensé le 28 mai 2013) est parfois aussi appelé Mediävistik/Altgermanistik ou Mediävistik im Internet. Mediävum provient du mot latin medium aevum et signifie ère moyenne. Le terme Mediävistik signifie la science du Moyen âge européen.

Le portail Mediävum.de a été mis en ligne le 21 mars 1999. En cliquant la rubrique Impressum on retrouve cette information sous Besucherstatistik. L’url constitue http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#link. La dernière mise à jour du site a été effectuée le 26 mai 2013. Cette information se trouve au début de la home page.

Les réalisateurs et éditeurs du contenu, donc des documents et informations sont principalement des professeurs en philologie allemande et des professeurs en philosophie de divers Universités en Allemagne (voir : http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#link ). Sous Redaktion dans la rubrique Impressum on retrouve les noms et informations de chaque personne impliqué dans la réalisation et actualisation du portail. Sa réalisation technique est également effectuée par un professeur en philologie. En cliquant sur le nom des différents des auteurs on peut accéder leur page de l’université. Il existe également un lien pour accéder à la page  des éditeurs qu’on retrouve sous Herausgeber. Le portail se trouve sous Copyright. La paternité des contenus appartient à Glauch, Hamm & Rupp, Wissenschaftliche Internetdiesnstleistungen Mediävum.de GbR, qui sont les trois professeurs s’occupant de l’édition du site web. Les informations concernant ces droits se trouvent sous Haftungsauschluss/ Externe Links dans la rubrique Impressum.

L’éditeur institutionnel de Mediävum.de est Domainfactory. Cette information se situe dans la rubrique Impression sous Besucherstatistik. En cliquant sur ce lien externe on peut directement accéder à la page d’accueil http://www.df.eu  aussi connue sous Hosting, Server-Lösungen und Domains-Domain Factory.

Le nombre des pages composant ce site web est introuvable. Cependant il contient plus de 600 références web. (voir: http://www.mediaevum.de/haupt7.htm )

L’accès sur Mediävum.de est libre. On a tout de même la possibilité de s’inscrire gratuitement sur le Besucherforum, le forum de discussion Gästebuch (voir: http://www.mediaevum.de/cgi-bin/ikonboard/ikonboard.cgi ) afin de pouvoir discuter, poser des questions, donner des informations supplémentaires à certains sujets (ou concernant des séminaires) ou encore faire une critique sur les publications.

Le nombre de présences actuelles est mentionné en haut de la page d’accueil. En cliquant sur le lien interne Besucher on peut accéder à ces informations ainsi qu’aux statistiques d’usage du site web sous Besucherstatistik. On peut également passer par la rubrique Impressum (voir: http://www.mediaevum.de/haupt7.htm#statistik ). Le portail est visité environ 3000 fois par jour. On y retrouve des informations sur le nombre de visite en 2009. Afin de pouvoir consulter les statistiques détaillées de 2009 il faut cliquer sur le lien hier qui ouvre le pdf (voir: http://www.mediaevum.de/hilfeseiten/statistik.pdf). Les statistiques sont exploitées par Domainfactory, l’éditeur institutionnel du site web. Cependant il faut remarquer qu’on retrouve que les statistiques de 2009 et les visites actuelles. Des statistiques plus récentes sont introuvables.

Contenus

Mediävum.de est un portail qui contient des liens et informations au sujet de la littérature allemande et latine au Moyen âge. A première vue il est destiné aux étudiants, professeurs ou chercheurs en philologie allemande et latine. A deuxième vue il est aussi utile pour les historiens ou des étudiants travaillant sur le Moyen âge. Comme son nom l’indique le site web contient des informations concernant les sciences de la philologie allemande et latine médiévales.

Le but de ce portail désigne de rassembler les sites web les plus utiles d’un point de vue scientifique et fiables sous forme de liens externes. On retrouve des catalogues regroupant des liens externes notamment pour des adresses et pour des sites web de différentes institutions germanophones telles qu’universités, centres de recherches non universitaires, des revues spécialisées et maisons d’édition, de musées, de châteaux forts ou de monastères, ou encore de bibliothèques. Ensuite on retrouve des bases de données et catalogues sur des recensions publiées sur internet, des publications médiévistes actuelles, la littérature et des écritures médiévales, des encyclopédies ou dictionnaires, etc… .

Structure et langages de la communication

Le portail s’inspire plutôt d’un site web d’une bibliothèque puisque c’est un en faite une sorte de catalogue. De plus sont associés à chaque rubrique une image, ce qui rend le site un peu plus vivant. L’espace du portail est organisé en blocs selon certains sujets tels que’ adresses utiles, bibliographies, sciences en philologie allemande, écritures ou encore outils d’aides (dictionnaires, encyclopédies). Chaque bloc/rubrique est divisée en sous-catégories. En cliquant sur les sous-catégories s’ouvre alors une base de données contenant les liens ou des informations sur certains sujets (projets, …). Les bases de données sont accompagnées d’évaluations, ce qui peut déjà donner une certaine impression au visiteur. On peut donc conclure qu’il s’agit plutôt d’une organisation de plusieurs blocs (sujets différents) et chaque bloc est organisé comme un arbre (sous-catégories).

On retrouve la barre d’outils ordinaire au début du site contenant 8 rubriques. Le texte de présentation du portail se situant contient plusieurs liens internes. Les informations les plus récentes se situent à droite ce qui évite de passer par les différentes rubriques. Ensuite on retrouve dix blocs/rubriques différentes, accompagnée chacune d’une image, regroupant différents sujets les quels on peut ouvrir immédiatement (liens internes). Si on ne sait pas précisément ce que l’on cherche on peut cliquer sur une rubrique et voir entre les sous- catégories. Sinon on peut utiliser l’outil de recherche dans la rubrique Suche (voir: http://www.mediaevum.de/suchen.htm ).  La recherche sur le portail est simple. Sinon on peut également utiliser le site map afin de voir toute les catégories sous forme d’un organigramme, ce qui peut faciliter la recherche.

Le portail est constitué de liens hyper textuels puisque qu’il contient des bases de données de liens.

L’utilisateur a le rôle du lecteur, du chercheur d’information mais aussi du communicateur lorsqu’il note un site dans le catalogue du portail ou lorsqu’il utilise le forum de discussion.

Le portail comprend un forum de discussion pour lequel on peut s’enregistrer gratuitement. Dans cette catégorie on retrouve une liste avec différents sujets regroupés par dates. Ces sujets contiennent chacun une liste de discussions.

Jugement critique

Le site est utile pour toute recherche d’informations au sujet d’analyse de documents médiévaux. Même si à première vue il est destiné au étudiants et professeurs de la philologie allemande, il faut noter que l’histoire est une matière regroupant plusieurs disciplines. Suivant le sujet qu’on traite, s’agit-il par exemple d’analyser des sources historiquement, on passe en premier lieu par la langue. En ce qui concerne la recherche pour l’analyse de sources et de documents médiévaux, Mediävum.de peut être recommandé. Le forum de discussion du portail est très pratique! La représentation du portail est nette et organisée. On s’y retrouve facilement.

Critique d’un site web: le Cid-femmes

1. Identification
1.1. Url-Uri:
http://www.cid-femmes.lu/
1.2. Titre:
Cid-femmes; comprendre et agir, femmes et genre
1.3. Date de réalisation:
2005
1.4. Date de dernière mise à jour :
Mise à jour régulière, la date exacte de la dernière mise à jour est introuvable.
1.5. Auteur(s) :
Les auteurs exacts de chaque publication sur le site ne sont pas visibles. Cependant, l’équipe du Cid-femmes est présentée sur le site. Kathrin Eckhart est la bibliothécaire, Christa Brömmel est la chargée politique, Danielle Roster est la chargée culturelle et s’occupe du projet KeK et du forum femmes et musique Euterpe, Joëlle Schwinnen est responsable des relations publiques, Françoise Wagner s’occupe de l’administration, Tessy Schmitt est responsable pour la bibliothèque et les archives musicales, Jacqueline Kandel s’occupe du secrétariat et Danielle Duprez des archives de presse.
1.6. Modalités d’accès :
L’accès au site est libre.
1.7. Statistiques d’usage :
Il n’y a pas de compteur de visites et de statistiques sur l’utilisation du site.

2. Contenus
2.1. Sujet :
Le Cid-femmes est le Centre d’information et de documentation des femmes Thers Bodé asbl. Il a été créé le 8 mars 1992 lors de la journée mondiale des femmes. Il possède une bibliothèque avec des ouvrages essentiellement écrits par des femmes ou s’intéressant à leur histoire. Sa collection comporte environ 20 000 ouvrages, des CDs, magazines. Les thèmes abordés sont le mouvement féministe, gender history, histoire des femmes, l’art des femmes, des biographies de femmes et des romans écrits par des femmes. Le centre a également un rayon intitulé « mädchenstarke Kinder- und Jugendliteratur ». La bibliothèque a également une rubrique avec de la littérature luxembourgeoise. Le forum de musique féminin EUTERPE est également organisé par le Cid-femmes. Le centre est soutenu financièrement par le ministère de l’égalité des chances, le ministère de la culture et la ville de Luxembourg. Le Cid-femmes est à l’initiation de projets culturels et socio-politiques, dans le but de promouvoir l’égalité entre hommes et femmes, ainsi que de susciter l’intérêt et de sensibiliser les femmes, hommes, enfants et adolescents pour des thématiques féminines. Le Cid-femmes se situe à Luxembourg-ville, dans la rue Beck.
2.2. Finalités :
Il s’agit d’un site d’information et de recherche.
2.3. Matériaux publiés :
Concernant les matériaux publiés sur le site internet du CID-femmes, on trouve une rubrique intitulée actualité et projets, où sont publiées des informations concernant des conférences organisées par le CID-femmes. Il y a également une rubrique qui s’appelle « What’s on » où l’on voit les conférences du CID-femmes ainsi que l’agenda complet des autres activités qu’il organise. On retrouve aussi les « News » du Cid-femmes. Il y a une rubrique consacrée aux publications du Cid-femmes. Certaines publications sont téléchargeables. Ils ont aussi des archives, où l’on peut consulter certains articles, notamment sur des sujets comme la « Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes ». Dans la rubrique « Biblio » on trouve des critiques de livres, des critiques de CDs, une rubrique appelée magazines qui contient des recensions. Puis il y a également le catalogue de CDs sur le site web. Pour avoir accès au catalogue de la bibliothèque du CID-femmes, on doit se rendre sur le site web de la Bibliothèque Nationale du Luxembourg. En outre, il y a une rubrique qui s’appelle culture où il y a notamment des extraits de livres. Dans la rubrique culture, il y a une sous-rubrique avec les publications du CID-femmes à ce sujet. Puis il y a également une rubrique qui s’appelle politique, où l’on publie par exemple une étude du CNFL sur la représentation des femmes en politique ou des articles autour du droit de vote pour les femmes. On retrouve une sous-rubrique intitulée femmes au Luxembourg ou encore une sous-rubrique qui s’appelle médias et où l’on retrouve des informations concernant les femmes et les médias, comment elles y sont représentées. Une autre sous-rubrique est consacrée à la journée de la femme où l’on retrouve des articles à ce sujet ou encore des suggestions de lecture. Dans la rubrique EUTERPE, on retrouve des échantillons de musique ainsi que des informations sur des femmes musiciennes et des informations relatives à des concerts.
2.4. Contexte dans lequel les matériaux sont offerts :

2.4.1. philologique :
Les matériaux disponibles sur le site le sont sous forme philologique.
2.5. Mise à jour :
Les documents sont mis à jour en relation avec les résultats récents de la recherche historique sur le sujet, d’autant plus que le CID-femmes est à l’origine de nombreuses publications comme des livres au sujet de l’histoire des femmes.

3. Structure et Langages de la Communication
3.1. Métaphore :

Le site s’inspire le plus d’une revue historique.
3.2. Organisation de l’espace logique :
Le site est divisé en sept grandes rubriques, chaque rubrique contenant de nombreuses sous-rubriques. Il y a cependant des interactions entre les différentes rubriques.
3.3. Navigation :
La navigation sur le site est très efficace. Il y a une « Sitemap » où toutes les catégories d’information présentes sur le site sont visibles en même temps. Sinon la navigation se fait via les 7 grandes catégories. En outre, on a accès via la « Homepage » à certaines des informations les plus récentes.
3.4. Connectivité externe :
Il y a une catégorie qui s’appelle « Links » et qui donne accès à de nombreux autres sites internet, concernant le Luxembourg, qui contient par exemple un lien vers le ministère de l’égalité des chances ou vers le site internet des femmes en détresse ; une autre rubrique concerne les femmes dans la branche musicale, qui renvoie par exemple à l’archive femme et musique à Francfort ; puis une rubrique culture, renvoyant par exemple au festival de films de femmes de Bruxelles ; politique et société qui renvoie par exemple à la marche mondiale des femmes ; des informations intéressantes relatives aux femmes comme par exemple la genderwiki ;ainsi qu’une rubrique qui s’appelle networking qui renvoie par exemple aux femmes dans les nouveaux médias.
3.4.1. rôle de l’utilisateur :
L’utilisateur est ici plutôt un lecteur, mais il est pourtant encouragé de participer aux événements organisés ou promus par le CID-femmes, tels des conférences.
3.4.2. instruments de navigation :
Le renvoi à d’autres sites se fait via la rubrique « Links ». Il y a également un renvoi vers la page facebook du CID femmes.

4. Jugement critique
4.1. Description :

Comme précédemment dit, le site est divisé en 7 grandes rubriques : CID, Biblio, Culture, Politique, EUTERPE, What’s on, CID for Kids. A part cela, il y a d’autres catégories : Home, Contact, Links, Downloads, Archiv, Sitemap. Chaque rubrique du site contient un certain nombre de sous-rubriques. La rubrique Downloads est sous-divisée en : bibliothèque, EUTERPE, publications et communications à la presse. La rubrique CID est divisée en : CID-team, où l’équipe du CID-femmes est présentée, CID-info, publications, soutien et 20 ans CID.
La rubrique Biblio contient les sous-rubriques : fonds, news, critiques de livres, critiques de CDs, magazines, archive, catalogue, service.
La rubrique culture est composée de : « Not the Girl you’re looking for », qui est une nouvelle publication du Cid-femmes ; KEK où il s’agit d’un projet pédagogique culturel, et les publications.
La rubrique politique est composée de la sous-rubrique « Si je veux… » où il s’agit du droit d’autodétermination des femmes, une rubrique d’actualité, une rubrique sur le droit de vote, une rubrique sur les femmes au Luxembourg, une rubrique sur les médias, une rubrique qui s’appelle boîte de livres et une rubrique consacrée au 8 mars, consacrée à la journée des femmes.
La rubrique EUTERPE contient un archive de musique, des publications, l’archive Helen Buchholtz, l’archive Lou Koster et l’archive E. Naske. Puis la rubrique « What’s on » contient l’agenda et les conférences organisées par le Cid-femmes. En dernier lieu, on trouve la rubrique Cid for Kids où l’on présente des projets comme de la littérature pour les enfants ou le Kek, où les enfants découvrent des artistes féminins.
4.2. Evaluation :
L’objet principal du site est de attirer l’intérêt des hommes, femmes, enfants pour l’histoire des femmes, des livres écrits par des femmes, de la musique faite par des femmes, des conférences et autres événements au sujet de l’histoire des femmes ou du genre. On veut intéresser au rôle des femmes dans le monde politique ou culturel, on veut promouvoir l’égalité des chances, mais également promouvoir des activités culturelles. Le site me paraît utile, puisqu’il contient beaucoup d’informations intéressantes au sujet de l’histoire des femmes ou de la femme tout court. Ce qui est également intéressant, sont les publications faites par le Cid-femmes. Le public visé est à mon avis très vaste, le site ne s’adresse pas uniquement à un public académique, mais à tout le monde, et pas seulement des femmes, mais on veut également susciter l’intérêt des hommes ou des enfants et adolescents. L’usage peut être à la fois didactique et ludique. Le Cid-femmes est une asbl, et est administré par un comité directeur de sept femmes : Jo Kappweiler, qui est la présidente, Carole Blond-Hanten, Helene Dürlinger, Tréis Gorza, Hermine Koster, Colette Kutten, Cléo Thoma, Christiane Walerich et Dany Weyler. Le contenu qui se trouve sur le site est évidemment fiable même s’il faut dire que les matériaux mis à disposition sur le site internet sont assez limités. Par contre, la collection de la bibliothèque est assez vaste et mise à jour, et le fait qu’il faut passer par le catalogue collectif de la Bibliothèque Nationale constitue un avantage, puisqu’il ne faut alors pas être membre du Cid-femmes pour pouvoir emprunter les livres. Il serait pourtant avantageux s’il était possible de mettre plus de documents sur le site, ou si par exemple la brochure du Cid-femmes serait téléchargeable librement sur le site internet. En tout, le site est quand même très utile pour s’informer au sujet de l’histoire des femmes et de l’actualité les concernant et il est avantageux que le site est régulièrement mis à jour et qu’il y ait une rubrique actualité et projets où l’on est tout le temps au courant des activités récentes du Cid-femmes.

Homepage Review – European History Primary Sources

Selon l’introduction de ce site historique, il s’agit avant tout d’un sommaire de sites scientifiques, qui rend possible l’accès à des sources primaires d’histoire européenne de tout genre. Le site regroupe pas seulement des métas sources, mais aussi des liens de documentations archivées et sources digitales.

Chaque site web énoncé est accompagné par une brève description et ensuite catégorisé par cinq différentes rubriques, qui vont être analysées par la suite.
De plus, ce site peut être accessible sans aucune obligation supplémentaire, mais pour certains documents plus confidentiels, une régistration est nécessaire.
Au niveau de l’actualisation du site, il faut noter que ce site essaye de suivre les événements contemporains. Plus précisément, il cherche à renouveler et de remplacer régulièrement les sujets historiques. Le site propose même un moyen d’avertissement personnel via « RSS feeds », « Twitter », « Facebook » ou même par une simple adresse électronique, quand un nouveau lien vient d’apparaître.
D’ailleurs, les utilisateurs registrés ont la possibilité d’ajouter des signets, des commentaires ou propositions, qui vont être traités par la suite.
Quant aux cinq rubriques différentes, le lecteur peut choisir des liens en liaison avec des pays, langues, périodes, sujets et types de sources. Par exemple la rubrique des pays rend possible d’accéder à d’autres machines de recherche ou sites web (p. ex. Luxembourg = luxemburgensia).
D’ailleurs, le visiteur peut, au niveau national (choix entre 10 pays) et européen, accéder à d’autres sites web proposés.
De même, le site informe via des nouvelles régulières sur la page principale, si une actualisation, respectivement une adjonction a pris lieu.
Finalement, on peut retenir que le site dispose toutes les qualités exigées pour être qualifié comme bon site web historique. Plus précisément, le site propose une vaste diversité de liens traitant des sujets scientifiques européens du passé et d’actualité.

Homepage review – Themenportail Europäische Geschichte

 

Logo TP Europische Geschichte

Le site faisant l’objet de ce commentaire est présenté, actualisé, par des chercheurs en Histoire de l’Université Humbolt de Berlin. Il s’agit donc d’un site scientifique destiné en premier lieu à des universitaires dans le domaine de la recherche ou de l’enseignement.

La rédaction du site est assurée par l’Institut des Sciences historiques, qui fait partie de la faculté de philosophie I. Les responsables de la rédaction se nomment Anne Lammers et Thomas Meyer, accompagnés de plusieurs professeurs chargés de l’édition, tandis que le directeur du projet est le Dr. Rüdiger Hohls.

Les centres d’intérêt du site tournent autour de l’histoire de l’Europe et des Européens du XVIIIe siècle à nos jours. Il rassemble des textes, des articles, des photographies ou encore des cartes concernant cette période bien définie utiles aux étudiants et professeurs. Parmi les thèmes abordés peuvent être cités: Gesellschaft und Kultur, Wirtschaft und Umwelt, Diktatur und Demokratie, Krieg und Frieden ou encore Europa in der Welt. Ce catalogue de sujets est intéressant dans la mesure où ils sont concrets et se rapportent aux préoccupations quotidiennes des citoyens européens.

En ce qui concerne l’architecture du site, il est bilingue, Anglais et Allemand, présenté en trois colonnes réparties en une grande, centrale, et deux petites, périphériques. Les principales couleurs sont le bleu et le noir sur fond blanc ou bleu. Le contraste des couleurs est assuré, ce qui rend le site lisible. Mais il est un peu dommage que les concepteurs du site n’ait pas mis plus d’accent sur d’autres couleurs comme le vert, le jaune, le rouge, entre autres. La couleur jaune apparaît de manière marginale juste dans l’entête pour désigner les pays membres de l’UE.

La police des caractères varie aussi, plus élevée pour les titres, par opposition aux caractères normaux. Il y a relativement de l’harmonie dans la présentation du site qui reste sobre et clair, malgré le nombre insuffisant de couleurs utilisées. Cette cohérence ressort par exemple dans l’ajustement de l’entête par rapport au reste du texte. Celle-ci propose deux visions de l’Europe : une vision interne à gauche avec l’effigie de l’UE. Le volet externe situe l’Europe par rapport au reste du monde, à droite, avec en arrière fond des écritures manuscrites en blanc, sur fond bleu, ce qui signale à tout visiteur qu’il s’agit d’un site historique qui effectue un travail sur les sources.

D’ailleurs, concernant les sources, elles sont multiples : essais, cartes, articles, livres, réparties globalement de manière acceptable. Des liens viennent compléter ce travail de sources. Ils orientent vers des sites de l’UE, comme Die EU im Überblick, Deutscher Bildungsserver-EU, The European Library, Europäische Union, entre autres. Il existe même une extension vers Wikipédia. Pourtant des outils importants comme Facebook ou Twitter font défaut.

En somme, ce site disciplinaire d’Histoire européenne est un bon outil de critique historique. Son architecture sobre mais efficace sont des éléments importants, sa lisibilité aussi est remarquable. Pourtant, il serait encore plus profitable avec une diversité de couleurs, des extensions Facebook, Twitter ou encore l’apport de documents audios ou vidéos.

Pour arriver sur le site, cliquez ici.

 

Homepage Review – European History Online / Europäische Geschichte Online

Die Internetseite Europäische Geschichte Online (Abk. EGO) ist eine Internetseite, die sich mit der transkulturellen Geschichte Europas befasst. Dieses Projekt betrachtet die europäische Geschichte als eine Geschichte interkulturellen Austauschs.

Erst vor kurzem ist der 200. Beitrag auf der Seite erschienen. Der Herausgeber der Seite ist das Mainzer Leibniz-Institut für Europäische Geschichte.

Zeitlich begrenzt ist der Rahmen des Ego Projektes zwischen der europäischen Neuzeit vom Ausgang des Mittelalters bis in die Zeitgeschichte hinein.

Die EGO Beiträge sind sowohl auf deutsch, wie auch in englischer Sprache wiederzufinden. Die von EGO behandelten Themen reichen von Religion, Politik,Recht, Musik, Kunst, Literatur bis hin zu Wirtschaft, Technik und Militär, Wissenschaften und Medizin.

Der von EGO behandelte Raum “Europa” sollte nicht als politische oder geographische Definition falsch verstanden werden. Da sich der Begriff “Europa” im Laufe der Zeit immer wieder veränderte, wird zu jeder analysierten Zeit der zeitgenössische Europabegriff benutzt. 

Die Ego Seite an sich ist klar nach folgenden Themensträngen gegliedert:

-Zeit

-Themen

-Raum

-Thread

Fast alle Beiträge werden durch Bilder passend unterstützt.

Die Beiträge von EGO dürfen mithilfe der Zitierrichtlinien benutzt werden.

Homepage Review – CVCE

© cvce

Le site commenté par cet article est géré par les collaborateurs du CVCE (Centre virtuel de la connaissance sur l’Europe), un centre de recherche et de documentation interdisciplinaire sur le processus de la construction européenne ayant pour mission la création, la publication et la valorisation de la connaissance dans un environnement numérique innovant. Le CVCE a signé un contrat de performance avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche du Luxembourg.

Le CVCE a son siège au château de Sanem. Le but principal du CVCE est le partage le plus large possible du résultat de ses études et activités de recherche sur l’histoire de la construction européenne et se base sur la conviction que nous devons comprendre le passé si nous voulons participer à la construction de notre avenir. Voilà pourquoi la sagesse pratique du CVCE repose sur ces mots: Knowing the past to build the future.

Au centre des travaux du CVCE se trouvent les European Integration Studies (EIS). Les projets de recherche en EIS se définissent par quatre domaines de recherche essentiels correspondant aux acteurs principaux de la construction européenne:

  • les organisations européennes;
  • les États européens et la construction européenne;
  • les personnalités européennes;
  • les idées, valeurs, identités.

La période de 2011 à 2013 traite plus particulièrement des questions sur l’évolution de la politique économique et monétaire européenne ou encore le rôle des institutions européennes dans un contexte de crise et de relance récurrent. Donc, le CVCE adapte régulièrement les problématiques, selon la situation en Europe et dans le monde.

Sur la page d’acceuil, le visiteur trouve les actualités du site, ainsi que des liens pour la recherche et des informations pratiques sur le CVCE et du contenu du site. La recherche permet de trouver des documents sur la construction européenne. En plus le site contient des liens vers d’autre sites sur le même sujet. Le site permet le choix entre la langue anglaise et française. De plus sont présentées les nouveautés du site que le visiteur peut consulter.

Le site contient une partie dédiée spécialement à l’histoire orale, une méthode scientifique pratiquée par les collaborateurs du CVCE. Cette partie présente des informations sur des personnes importantes pour la construction européenne, ainsi que des interview qui ont été faites avec les personnes présentées.

La partie “Education” permet aux enseignants et aux étudiants de trouver des ressources pédagogiques et des documentaires sur la construction européenne.

Pour arriver sur le site cliquez ici.

Homepage review – Euratlas

Euratlas is a Swiss business specialist in historical digital cartography. The history and geography maps were drawn by Christos Nüssli on the basis of several references and primary sources available in Vector and GIS maps.

The homepage Euratlas contains mainly historical maps, geographical maps and ancient maps of Europe.

The Periodical Historical Atlas of Europe is a reference tool that shows 21 political maps of Europe at intervals of 100 years. Each card describes the political situation as it was at the end of each century. So it is possible to have an overview of the history of Europe over the last two millennia.

It offers also a world atlas with the display of the 194 independent countries in the world with their main characteristics: names, population, area, capital etc.

Finally, the site includes a wide collection of pictures of Europe in order to give a comprehensive view of history and geography.

Homepage Review – Les Chemins de la mémoire

{…} La mémoire sourd d’un groupe qu’elle soude, ce qui revient à dire, comme Halbwachs l’a fait, qu’il y a autant de mémoires que de groupes : qu’elle est, par nature, multiple et démultipliée, collective, plurielle et individualisée. L’histoire, au contraire, appartient à tous et à personne , ce qui lui donne vocation à l’universel.{…}[2]

Les chemins de la mémoire est un site d’histoire de trois grands conflits du XXème siècle : la Première Guerre mondiale, la Guerre civile espagnole et la Deuxième Guerre mondiale. Il est le fruit de la collaborations entre institutions d’histoire de six pays européens : la France (Mémorial de Caen), la Belgique (Centre d’Études et de Documentation Guerre et Sociétés Contemporaines), l’Espagne (Museo de la Paz), l’Allemagne (Haus der Geschichte der Bundesrepublik Deutschland), la Grande Bretagne (D-Day Museum) et l’Italie(Instituto per i Beni Culturali).

La découverte du site se fait par thèmes et cartes . On commence par choisir un des trois conflits et un des pays[3]. A ce moment là nous nous retrouvons face à une liste de sujets, qui varie selon le pays[4] (ainsi, pour donner un exemple, pour la Première guerre mondiale en France les sujets proposés sont : « opérations militaires, occupation du territoire et la guerre à l’arrière »). C’est seulement après avoir choisi l’un de ses sujets que nous pouvons vraiment voyager sur la carte et cliquer sur la localité qui nous intéresse (des brefs résumés apparaissent à coté de la localité lorsqu’on passe la souris dessus . Ces résumés varient en longueur (dans les notices allemandes ils sont généralement fort longs alors que les français se limitent à quelques mots) et nous permettent de ne pas faire de choix aléatoire ni perdre du temps sur une notice qui traite de sujets qui nous intéressent moins)). Il nous est de plus possible de consulter une « fiche touristique » pour chaque localité. Les sujets traités dans les notices dépassent le registre militaire[5], et explorent différents secteurs de la vie durant les 3 conflits (politiques, économiques, sociaux, technologiques). L’anecdote ou événement précis qui est directement associé au lieu qu’on a choisi sur le site est contextualisé dans la notice et ainsi on sort de la mémoire pour faire de l’histoire.

Les notices ont étés rédigées par des historiens diplômés sous la coordination de professeurs d’histoire et de centres de recherche en histoire : on peut donc aisément  faire confiance aux informations partagées sur ce site. D’autre part, les textes des notices sont fort bien rédigées[6] et peuvent s’adresser à un public large tant qu’il partage une certaine curiosité et intérêt pour l’histoire. Le site est traduit en 6 langues différentes .

Cependant bien que le contenu du site soit fort intéressant, la forme pourrait être retravaillée. Les notices pourraient être enrichies de plus de documents iconographiques et se faire des renvois entre elles[7].

Il y a de plus une omission assez grave dans le texte d’introduction à la Première Guerre mondiale ou lorsqu’on parle de la désagrégation d’empires on ne cite pas l’Empire ottoman. Bien que cela ne soit pas le sujet principal, cette information reste indispensable.

Comme nous l’avons dit plus haut, il n’est pas question des causes qui ont entraîné les guerres dans les introductions ce qui est dommage mais compréhensible. Ce site demeure toutefois une belle initiative collective qui , nous l’espérons, se perfectionnera avec le temps en élargissant l’espace étudié à plus de pays et à une plus grande profondeur d’analyse (en collaborant mieux les uns avec les autres).

 


[1] http://www.lescheminsdelamemoire.net/1gm/l.asp?ver=all. Nous n’avons trouvé aucune date sur ce site qui pourrait nous indiquer quand il a été crée .

[2] Citation de Pierre Nora dans PROST (Antoine), Douze leçons sur l’histoire, Paris, Seuil, 1996, pp. 299-300.

[3] Après avoir fait le choix du conflit , un texte général d’introduction nous apparaît dans la gauche .  Ce texte se limite à une brève description événementielle du conflit. Il n’apprend pas grande chose sur les enjeux ni causes du conflit qui est sorti de son contexte historique. Je pense personnellement que cette omission est voulue et que c’est simplement dû à un échec dans les discussions entre historiens des 5 pays différents qui n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur un texte explicatif « neutre » qui ne donnerait pas avantage à une vue nationale sur une autre et qui pourrait aussi attiser des vieilles tensions … Finalement  plutôt que de rapprocher les Européens, le site leur donnerait des raisons pour se diviser.

[4] Ainsi par exemple dans la partie dédié à la Première guerre mondiale en France , un des sujets proposés est « occupation du territoire ». Ce sujet n’apparaît pas lorsqu’on choisi l’Allemagne durant le même conflit ce qui est logique vu que cette dernière n’avait pas subit d’occupation.

[5] On ne se limite pas à nous montrer les foyers de grandes batailles, massacres, bombardements…

[6] C’est aussi l’avantage de travailler avec des institutions qui ont l’habitude de « communiquer » l’histoire au public à travers les musées, etc.

[7] Il y a souvent dans les notices des mentions d’événements ou faits  emblématiques de l’époque étudié qui ne sont pourtant pas connues de tout le monde, et qui , parce qu’elles sont expliquées dans d’autres notices, elles ne le sont pas dans la leur . Il faudrait au moins mettre un renvoi entre notices qui pourrait faciliter la compréhension de l’entièreté du texte. Un exemple : la notice de Mouilleron-en-Pareds, lieu de naissance de Clémenceau, fait une biographie de ce dernier. Elle mentionne l’ « affaire Mata Hari » dont il fut principal acteur sans en donner plus d’informations.  Pourtant la notice de Vincennes, lieu ou Mata Hari fut fusillée explique l’histoire . Une continuité entre notices qui peuvent se compléter devrait être mise en place à travers des renvois. Le visiteur du site moyen pourrait dans le cas contraire se décourager face à des notices trop encyclopédiques dont il ne saisirait pas les vrais enjeux.